Accueil » Recette de la pizza Calzone Également appelée pizza Chausson, la pizza Calzone est originaire du sud de l’Italie. Cette recette faite à base des mêmes produits qu’une pizza classique s’est popularisée grâce à sa forme de chausson. C’est d’ailleurs un des types de pizza les plus populaires. Quelle est la recette de la pizza Calzone ? Voici un descriptif du processus de préparation de la pizza Calzone ainsi que des ingrédients nécessaires pour la réaliser très simplement chez vous. Les ingrédients de la pizza Calzone À première vue, on pourrait confondre les ingrédients d’une recette de la pizza Calzone à ceux de la pizza reine. Toutefois, le processus de préparation complètement différent fait la particularité de la pizza Calzone. Pour concocter la pizza Calzone, vous aurez premièrement besoin d’une pâte à pizza. Il vous faudra De la farine T45 de préférence pour 500 g ;De la levure boulangère 12 g ;3 cuillères à soupe d’huile d’olive ;300 millilitres d’eau tiède ;Du sel. Vous aurez besoin de ces différents produits pour préparer vous-même votre pâte à pizza. Vous pouvez néanmoins éviter tout le processus en achetant une pâte déjà prête dans le commerce. Pour la garniture de la pizza Calzone, vous aurez besoin de La sauce tomate ;Quelques tranches de jambon ;La mozzarella pour 100 g environ ;Quelques champignons ;L’huile d’olive ;Un jaune d’œuf et un œuf entier. La recette de la pizza Calzone en 10 étapes Avant de commencer la préparation, commencez par allumer votre four à 250 degrés pour le préchauffer. Suivez ensuite les étapes suivantes Étaler la pâte en forme ronde sur un plan de travail ;Découper les champignons et les faire chauffer à la poêle dans l’huile d’olive ;Couper également le jambon en lamelles ;Répartir ensuite la sauce tomate sur la moitié de la pâte sauf sur les bords ;Commencer par disposer les champignons et le jambon sur la sauce tomate ;Ajouter la mozzarella en petits dés ;Badigeonner les bords de la pâte à pizza avec du jaune d’œuf ;Fermer la pizza en rabattant les deux bords ;Casser l’œuf entier et le passer sur la surface de la pizza ;Mettre au four pendant une vingtaine de minutes à peu près. Comme vous avez pu le constater, la forme de la pizza Calzone diffère de celle des pizzas classiques. Il s’agit en effet d’une pizza que l’on referme pour garder la garniture à l’intérieur. Le conseil des pro En utilisant quelques astuces, vous pouvez rendre votre pizza Calzone meilleure. Le premier conseil est de bien garnir l’intérieur. Mettez suffisamment de farce afin de bien remplir l’intérieur de votre pizza Calzone. C’est une astuce pour rendre la pizza plus savoureuse. Une seconde astuce consiste à ne pas mettre de farce sur le bord. Laissez le contour de la pizza libre afin de pouvoir bien appliquer le jaune d’œuf. Pour obtenir une jolie surface, faites un mélange de lait et d’œuf à étaler sur la pizza avant de l’enfourner. Les variantes de la pizza Calzone La recette classique de la pizza Calzone peut être améliorée en y ajoutant de nouveaux produits. Selon vos goûts, vous pourrez utiliser des poivrons pour donner de nouvelles saveurs à la pizza Calzone. Une autre variante de cette pizza est réalisée en mettant du parmesan dans la garniture. Vous pouvez ajoutez de l’ananas pour avoir un mélange sucré salé qui rappelle la pizza hawanienne. En ajoutant des poivrons et des coeurs d’artichaut, vous pouvez avoir une délicieuse Calzone façon pizza 4 saisons. L’avis de rédaction En plus d’être délicieuse, la pizza Calzone vous permet de diversifier vos préparations. De plus, elle se consomme facilement comme une entrée ou un plat de résistance. Vous pouvez surprendre votre famille et vos invités en leur servant une Calzone cuite au four à pizza. Ces appareils chauffent à plus de 400 degrés ce qui vous permet de vous rapprocher de la cuisson des authentiques fours à en pierre qu’on retrouve dans les grands restaurants italiens. Sur ce site nous avons déniché et testé pour vous les meilleurs fours à pizza du marché. Nous vous donnons notre avis honnête sur les modèles que nous avons essayés afin que vous puissiez vous équiper du meilleur appareil et ravir vos convives avec de savoureuses pizzas maison aussi bonnes qu’au restaurant. La rédaction.

COMMENCEMENT. Corbeille AuteurMessageInvitéInvitéSujet I'm addicted to you, don't you know that you're toxic PV CALEBOUNET <3 Lun 27 Sep - 2233 I'm addicted to you Don't you know that you're toxic »Le Rudy ? C’était où ça déjà ? Et pourquoi fallait-il qu’elle y aille ? Quoi mettre ? Que faire ? Quoi commander là-bas ? Si elle commandait une bière allait-elle être mal vue ? Peut-être valait-il mieux ne pas commander ? Rah, c’est tellement compliqué ! Pourquoi fallait-il qu’elle se pose autant de question pour une simple sortie proposée par un jeune homme beau qui lui plaisait beaucoup… Beaucoup… D’accord elle était folle de lui mais quand même ! Elle ne pouvait pas être simple comme d’habitude… Non… Parce qu’habituellement elle n’aurait pas donné son vrai numéro de portable, elle aurait plutôt donné celui de sa chaine de Pizza Hut pour ne pas se faire embêter inutilement mais là, oui là, elle avait donné son numéro, le vrai, celui que presque personne ne connaît parce qu’elle ne veut pas qu’il se répande et qu’un homme puisse l’avoir… Et pourtant, la personne qu’elle allait rencontrer au Rudy était un homme… En tout cas il en avait l’air ! Il était beau, brun aux yeux… Bah il faisait noir alors elle ne savait pas vraiment mais ses yeux étaient pénétrants… L’obligeant à ne parler que son regard en plein dans le sien…Pourtant ils ne s’étaient vus qu’une fois… Elle ne savait même pas ce qui l’avait prise de parler à un homme en pleine rue, qui l’avait reconnue et qui savait donc qu’elle était Streap Teaseuse, elle avait accepté qu’il la ramène chez elle, elle avait réussit à monter dans la voiture d’un parfait inconnu… Tout ça parce que physiquement il lui plaisait… Parce qu’il semblait différent… Parce qu’il avait l’air gentil, ouvert, adorable… Rah il la faisait fondre comme du chocolat sur du pain de mie en une chaude après-midi d’Août, c’était ce genre de romance débile qui vous font rougir des joues dés qu’on se voit et qui vous font sourire bêtement en entendant seulement le son de la voix de l’être adoré… Elle avait l’impression de rencontrer le premier amour alors qu’elle avait déjà un passé amoureux… Très houleux d’ailleurs aux vues des marques qu’elle avait lorsqu’elle est arrivée à Sidney… Non, elle n’avait pas du tout oublié ce détail, elle n’avait pas oublié ces évènements et c’est aussi pour cela qu’elle était sur la défensive avec ce jeune homme qu’elle connaissait à peine… Et malgré tout elle était obnubilée par lui et elle savait très bien que lorsqu’elle serait devant lui, elle allait redevenir une petite fille devant son premier amour naïve, obéissante, douce et éperdument… niaise ! Quoi ? Elle avait déjà 23 ans ? Et bien il fallait dire que dés qu’elle allait se retrouver en face de Monsieur Caleb, dont elle ne connaissait même pas le nom de famille d’ailleurs, elle allait faire son idiote alors qu’il n’y avait aucune raison… Parce que Caleb était quelqu’un d’adulte et qu’il avait, à vrai dire, sûrement, au vue de son joli minois, le même âge qu’ que faire ? Oui, décidément, ce soir, il fallait absolument qu’elle aille au Rudy parce qu’elle avait trop envie de le revoir pour ne pas céder à ce désir, elle en avait besoin… C’est pour ça qu’elle se décida enfin à quitter sa télévision aux environs de 22 heures, l’éteignant rageusement, stupéfaite devant la force de son désir qui réussissait à lui faire quitter son canapé aussi confortable pour sortir dans la fraîcheur de la nuit de Sidney. Elle se leva donc et alla prendre rapidement une douche, histoire de se décrasser et de faire friser légèrement ses longs cheveux bruns qui prenaient de jolies courbes ondulées aux sortir de la douche. Elle alla ensuite dans sa chambre et mit plus de 20 minutes avant de trouver quoi mettre… Un pantalon ? Hum… Peut-être était-ce un peu trop stricte pour un bar… Une robe ? Peut-être n’était-ce pas assez chaud pour sortir dehors… Mais bon… Elle n’allait pas passer sa vie dehors… Pire encore, elle allait sûrement passer toute sa soirée au Rudy et souvent dans les bars, on a le plaisir de mourir de chaud en étant habillé de façon assez légère alors autant sortir le paquet niveau séduction parce que c’était bien ça le but de la manœuvre… Non ? Allez, ne tournons pas autour du pot 15 ans ! Elle savait bien que si elle sortait et allait à ce bar, ce soir, ce n’était pas seulement pour boire une Margarita et parler Streap Teaseuse avec Caleb… C’était aussi parce qu’elle avait fortement envie de le voir parce qu’il lui plaisait affreusement et qu’il fallait qu’elle le connaisse et qu’elle le voit autant que possible ! Vilaine Sookie ! Et, en vilaine fille qu’elle était, la jeune femme n’hésita donc pas à sortir le grand jeu pour sortir ce soir, décidant d’oublier l’éventualité qu’elle pourrait peut-être ameuter des hommes qui n’étaient pas du tout inclus dans le programme ! Enfin bref, elle enfila donc une petite jupe blanche qui lui arrivait au milieu des cuisses et découvrait ses longues jambes, un petit haut noir pas trop décolleté mais assez quand même et de jolis escarpins de couleur noir qui la grandissaient juste assez pour qu’elle soit élégante, distinguée et sexy à la fois… Le genre, maitresse sexy qui va à un rendez-vous… Non ? Ouais… Valait mieux ne pas penser comme ça sinon ça allait devenir gênant et quand c’est gênant, Sookie rougit ou se mord la lèvre de façon extrêmement suggestive. Après tout cela, elle retourna dans la salle de bain se maquiller et la voilà prête à filer pour une soirée qui promettait d’être fortement intéressante aux vues de ce qu’elle allait offrir comme possibilités de connaître mieux Caleb… Le prévenir ? A ça non, pas question ! Elle préférait largement arriver à l’improviste comme si elle venait ici régulièrement alors qu’en réalité elle ne sortait que pour aller bosser et point barre… Ou sinon pour faire les courses mais c’était seulement l’essentiel… Enfin… Elle voulait avoir l’air de ne pas être venue que pour lui, même si c’était le cas. Il fallait qu’elle arrive comme si de rien n’était, sans le chercher, sans vérifier s’il était là… Faire la fille discrète et non intéressée. Et surtout pas obnubilée… La honte s’il découvrait tout ça, elle aurait l’air bête ! Sur ces pensées encourageantes, la jeune femme monta dans un taxi et demanda au chauffeur s’il pouvait la déposer au Rudy »… Après tout, elle ne connaissait pas du tout le chemin ni l’adresse mais il avait l’air d’un bon ami de beuverie alors elle pouvait bien lui faire confiance pour la déposer à un bar… Il avait déjà du faire le tour des bars de la ville vu le gros nez rouge qu’il avait à cette heure-là. Finalement, elle arriva devant l’enseigne, découvrant avec surprise l’élégance du lieu… Comme quoi… Sa façade était belle, vraiment jolie… Faisant presque tâche dans l’esprit de l’architecture australienne. Enfin… C’était plutôt accueillant et sympathique, il fallait l’avouer ! Après avoir payé le chauffeur, la jolie brune se décida à sortir du véhicule et se précipita vers le bar histoire de se réchauffer un peu, sous le regard des personnes qui étaient dehors pour fumer leur cigarette… Et oui, même si elle était acceptée dans les lieux publics, certains avaient l’élégance d’aller dehors…Pénétrant dans les lieux, la jeune femme fut une nouvelle fois surprise… Ce bar ne ressemblait pas à ce qu’elle avait vu… Jamais elle n’avait vu un bar comme celui-ci… Il était… différent… Mais dans le bon sens du terme ! Se dirigeant vers le comptoir, Sookie choisit un tabouret qui lui faisait voir l’ensemble de la pièce, lui laissant entièrement le loisir d’observer les gens qui étaient là. Non, les gens n’avaient pas l’air de tueurs en puissance et ça s’était une chance pour elle parce qu’elle ne souhaitait pas du tout mourir à la sortie de ce bar, assassinée de sang-froid par un mec bien louche l’aillant trouvée belle… Enfin bref, la pièce entièrement passée sous son scanner anti-méchants, la jeune femme se tourna vers le comptoir pour commander quelque chose à boire et pour voir avec une discrétion de super espionne si Monsieur le barman sexy du nom de Caleb était présent ce soir… Il devait être sexy avec un petit tablier pour ne pas se tâcher… Ah non… Ils ne portaient pas de tablier ici… Tant pis, elle gardait son idée pour un autre jour, ça pourrait toujours servir, n’est-ce pas ?! Et puis c’est alors qu’elle le découvrit à la tâche… Servant… Une personne qu’elle ne connaissait pas mais qui avait l’air de ne pas être à son premier verre… La classe ! Elle observa le jeune homme, détaillant son geste comme si elle observait quelqu’un faire et qu’ensuite c’était à elle de s’exécuter… Elle se perdit dans sa contemplation… Observant son petit sourire agréable de rigueur qu’il faisait lorsqu’il fallait servir un idiot… Comme lorsque elle, elle devait virer bien gentiment un homme un peu trop désireux lors d’un Streap Tease… Enfin… Personne ne risquait de reconnaître Bella ce soir… Elle était Sookie, la vraie, l’unique et c’était très bien comme ça… Surprise dans son observation, elle sursauta en entendant la voix d’une jeune femme qui lui demandait avec un sourire feint ce qu’elle désirait boire… La jolie brune s’empressa de répondre d’une voix tremblante, se remettant du choc avec peine, qu’elle désirait une Téquila et vit la jeune femme, la saloperie plutôt, s’approcher de Caleb pour lui murmurer quelque chose à l’oreille… Quoi ? Elle n’avait rien fait après tout ! Elle pouvait bien observer un barman en action ! Et si elle voulait apprendre le métier ? C’était possible, non ?! Pas vraiment aux vues de la maladresse de Sookie mais bon, cette femme n’était pas sensée le savoir ! Peut-être donnait-elle sa commande à Caleb… En tout cas elle lui parlait, c’était déjà ça… Se mordant la lèvre, Sookie baissa les yeux sur ses mains jointes… Pourvue qu’il ne la prenne pas pour une folle… InvitéInvitéSujet Re I'm addicted to you, don't you know that you're toxic PV CALEBOUNET <3 Mar 28 Sep - 1932 by Ressource-Graphique & chib♣ I'm addicted to you ♣ Cela faisait maintenant quelques semaines que j’avais débarqué à Sydney. Du jour au lendemain. Je commençais tout juste à m’habituer à ma nouvelle vie. Une nouvelle routine. Enfin non, je n’aimais pas dire ça ainsi. Mais j’avais mes marques à prendre. Et je m’en sortais plutôt pas mal. Gary, mon meilleur pote irlandais, avait été d’une grande aide, il fallait bien l’admettre. Mon job, je le lui devais, tout comme son hospitalité, ainsi qu’à Coleen. Je cherchais un appartement à moi bien sûr, mais en attendant il faisait bon d’avoir un toit où dormir ainsi que de bons repas préparés. Il était 17 heures lorsque je relevais les yeux vers mon réveil. Vous vous demanderiez sûrement ce que je pouvais foutre dans mon lit à une heure pareille … Mais c’est ce qui complique la vie d’un barman. Les horaires. J’avais terminé plus tard que prévu la veille et n’avait pas pu me coucher avant 13 heures. Autant dire que dans mon monde, c’était l’apocalypse. Car sans mon taf de sommeil, je ne servais à rien. C’est donc en grognant que j’éteignis la sonnerie stridente qui me rappelait à l’ordre. Et c’est en grognant que je m’étirais, visage sous l’oreiller et en tenue d’Adam, rêvant de quelques minutes de plus de tranquillité. Mais à quoi bon ? Il était temps de se bouger … Rien de tel qu’une bonne douche fraiche pour vous remettre d’aplomb. Cinq minutes. Une serviette à la taille et une bonne tasse de café préparé du midi même. En même pas vingt minutes je suis fin prêt, j’attrape mes clés, je referme derrière moi et je pars pour le pub. On pourrait croire que cette vie n’est pas facile. Qu’il y a trop de contraintes. Je suis d’accord sur le fait qu’il y a des inconvénients, comme ne pas vivre comme son entourage. Mais je n’en suis pas encore lassé, sans compter qu’il faut bien bosser si on veut se payer un loyer. A peine arrivé, je suis déjà demandé. Faut que je prépare mon bar. Faut que je réapprovisionne le tout. Faut que je sorte les ordures. Faut que je nettoie la salle. Pas le temps de réfléchir. De penser. De se prendre la tête. C’est comme ça que je vois les choses, et heureusement, sinon je ne serais pas sorti de l’auberge. Et puis, si je ne devais que tourner en rond, je penserais inévitablement à elle. Et je me forçais de ne pas le faire. J’avais attendu une semaine avant de taper ces numéros, d’entendre sa voix et de lui laisser un message. Un message qui, je l’espérais, restait neutre et pas stupide. Je crois me rappeler m’être présenté, vaguement, et avoir précisé où je bossais si ça lui tentait qu’on se revoit … clair, j’avais foiré. Jamais elle ne me rappellerait, pas plus que je ne la verrais pénétrer ici. Quelques heures plus tard, la clientèle envahit le pub. Comme chaque soir. J’aime cette ambiance. Chaleureuse. Détendue. Sympathique. Unique. Observer les gens, deviner leurs soucis, leurs regrets, leurs espoirs … Être barman, c’est être privilégié. On est sobre et on a un regard extérieur. C’est sûrement pour cela qu’on nous prend pour des psy parfois. Tout comme ce type, face à moi. C’est la quatrième fois que je le sers en une demi-heure. Il me parle, se confie et se fiche que je l’écoute ou non. Même si je le fais, en souriant et en compatissant. Être barman, c’est savoir écouter en priorité. Alors c’est ce que je fais, tout en servant d’autres clients, riant avec eux. Je jongle avec les bouteilles et les verres, comme j’ai pu l’apprendre en Irlande. Je me rappelle bien m’être dit alors que je n’y arriverais jamais. Voilà qu’à présent c’est une habitude. Un réflexe. Je ris avec ce type quand Carolia m’attrape le bras et me parle à l’oreille. Je tente de rester de marbre. De ne pas écouter les battements de mon cœur. Je me sens idiot. Je me sens démuni. Je ne cesse de me répéter que j’agis comme une femme, mais au fond qu’y puis-je ? Alors je me tourne vers Elle. Elle est seule. Et encore plus magnifique que dans mes souvenirs. Une boule au ventre, loin d’être désagréable, apparait. Je m’excuse auprès de mon interlocuteur avant de me diriger vers Sookie. Salut … » lui souris-je. Alors, ça sera une Tequila pour la demoiselle ? » demande-je plus pour dire quelque chose que pour poser la question. En deux secondes, c’est fait. Je vois Carolia et Brett occupés à servir, me laissant du temps à accorder à la jolie brune qui hante mon esprit depuis des jours. Comment ça va ? Je ne pensais pas te revoir, je dois avouer … mais ça fait plaisir. »Simple et banal. Mais tellement vrai. InvitéInvitéSujet Re I'm addicted to you, don't you know that you're toxic PV CALEBOUNET <3 Mar 28 Sep - 2321 I'm addicted to you Don't you know that you're toxic »Une semaine. Il avait mit une semaine avant de daigner l’appeler… Naturellement, Sookie avait beau trav ailler de nuit, comme Caleb, elle n’avait pas décroché pour autant, ne sachant même pas quoi dire, imaginant déjà sa voix chevrotante à travers le combiné comme une gamine, non, elle n’était pas encore prête à lui parler parce qu’elle avait peur de passer pour la dernière des idiotes, ne sachant même pas quoi dire ! C’était peut-être stupide, Sookie pensait réellement qu’à cet instant où elle avait vu s’inscrire sur son téléphone le prénom Caleb » elle s’était mise à complètement paniquer, ne sachant plus quoi faire, ne sachant même pas ce qu’elle pouvait dire et s’imaginant surtout, au combiné, complètement muette, bloquée par le simple fait d’entendre sa voix au travers de son téléphone. C’était bête, c’était gênant et ça la mettait hors d’elle d’être aussi bête mais qu’importe, elle ne pouvait pas changer comment elle était, c’était ça Sookie, un brin de gaminerie et beaucoup de folie. Enfin, elle avait passé et repassé le message, écoutant d’abord la voix du jeune homme sans ne porter aucune attention à la teneur du message, l’imaginant en train de parler. Ensuite elle s’était rendue compte que ce qu’elle était en train de faire était complètement débile et qu’il fallait plutôt qu’elle écoute ce qu’il lui disait parce qu’il pouvait très bien lui dire avec une voix sexy qu’il la trouvait moche et ne voulait plus jamais la revoir… De quoi lui briser le cœur en somme ! Enfin, heureusement pour elle, il ne lui brisait pas le cœur, au contraire, il le faisait battre la chamade comme si elle était sur ressort ou sur pile électrique et que la batterie était chargée à bloque ou que le ressort était refermé sur lui-même au maximum. Elle était prête à bondir, prête à rappeler maintenant, tout de suite… Et puis elle s’était rassérénée, comme tout le temps ! Elle s’était dit qu’il valait mieux ne pas l’appeler avant d’en avoir le courage. Le temps avait un peu passé et elle avait eut enfin le courage, animé par un profond désir, de se bouger pour aller voir le jeune homme qui lui plaisait vraiment, se disant enfin que non, elle n’allait pas paraître stupide, qu’elle pouvait le faire et que s’il voulait d’elle et bien, il devait l’accepter dans toute sa complexité ! Bah quoi ? Sookie n’était pas le genre de personne dont on pouvait trouver le mode d’emploi tout fait, rédiger et dont on est sûr et certain qu’il fonctionnera à chaque fois, pour chaque situation, à chaque réaction ! Non, la jolie brune était bien plus que ça et il fallait parfois savoir s’adapter à elle…Enfin, ce soir elle était donc venue au Rudy, sachant pertinemment que Caleb travaillerait pile en même temps, qu’elle allait donc le voir et potentiellement lui parler. Elle avait beau vouloir passer pour la fille qui fréquente tout le temps les bars, Sookie était bien loin d’être une grande amatrice d’alcool, préférant la sobriété et le faite d’être entièrement maitresse de ses mouvements et pouvoir rentrer chez elle par elle-même ! C’est pour cette raison que Sookie sortait très peu, et puis il fallait avouer que le métier de Streap Teaseuse était un métier assez risqué d’après elle et aussi d’après son petit côté paranoïaque. Elle avait terriblement peur qu’un client la reconnaisse dans la rue, un peu comme Caleb d’ailleurs, et ne veuille lui sauter dessus et lui faire du mal comme on le lui avait fait lorsqu’elle avait 20 ans. Pourtant elle sentait que Caleb était un garçon qui semblait différent… il s’était approché d’elle en douceur et lui avait parlé gentiment, il avait ce sourire franchement sincère et il ne semblait pas être un tueur en série et puis… Et puis elle avait trop craqué pour lui pour se soucier du fait qu’il pouvait être un méchant garçon ! Enfin, finalement, elle s’était tout de même rendue à ce bar dans une tenue quelque peu provocante seulement pour attirer son attention, pour ne pas qu’il reste indifférent et qu’il s’occupe des autres clients alors qu’elle, elle était venue seulement pour lui. Malheureusement pour elle, elle avait beau souhaiter passer un minimum inaperçu, elle devait tout de même avouer que son attitude n’était pas des plus discrètes lorsqu’elle s’était penchée sur le bar pour l’observer sans prendre des pincettes. Et puis cette femme était arrivée et était allée dire à Caleb quelque chose qui allait sûrement la faire passer pour une idiote, comme si elle avait besoin de ça ! Enfin, le jeune homme s’était approché, lui faisant découvrir son beau visage tourné vers elle avec un agréable sourire, ce genre de sourire qu’on a lorsqu’on se rend compte que quelqu’un qu’on aime bien est présent. Son visage s’illumina au même instant, lorsqu’elle croisa le regard de Caleb, comme s’il était une des choses les plus importantes dans sa vie. Elle l’observa avancer, son cerveau tournant en même temps en rond pour trouver quoi dire, quoi faire, pour ne pas rester plantée là comme une petite idiote ! Il se mit alors à parler, sa voix provocant chez Sookie une vague incontrôlée de désir pour lui, une vague incontrôlée de rougeur sur ses joues et surtout, elle ne pu retenir ce petit mordillement de lèvre de façon suggestive. Elle eut un petit rire en douceur lorsqu’il lui proposa sa tequila et se décida à hocher la tête sans réellement savoir quoi répondre… Elle préférait donc lui adresser un sourire et finit par lui répondre Oui… Mais une seule par contre ! ».Oui, il n’en fallait qu’une seule parce que sinon après elle allait être complètement ivre et allait finir par passer pour la plus belle des idiotes. Ah ça non ! Il ne fallait pas qu’elle finisse ivre devant Caleb et, de toute façon, ça n’allait pas finir comme ça parce que Sookie était une jeune femme fortement soutenue avec certains principes. La suite de l’histoire ne pu que la surprendre parce qu’elle s’entendit dire que le jeune homme ne s’attendait pas vraiment à la voir venir jusqu’à lui. Et bien en voilà une surprise ! Sookie était sûrement la jeune femme la plus inattendue de la soirée et ça, ça lui plaisait fortement ! Elle adorait être inattendue et que ça lui fasse plaisir était sûrement la cerise sur le gâteau ! Elle ne pu s’empêcher de sourire comme une petite fille et se pencha instinctivement sur le comptoir comme pour lui faire une confidence et finit par lui dire en douceur Je vais bien ! A vrai dire… J’avais un jour de congé et je me suis dit que sortir un peu n’était pas si mal et c’est à ce moment que je me suis dit que je pouvais venir te voir vu que tu m’avais dit où tu travaillais dans ton message… D’ailleurs… ça m’a fait… plaisir d’avoir de tes nouvelles… ». Si ça lui avait fait plaisir ?! Elle était comme une gosse, ça la rendait complètement folle de savoir que Caleb était heureux d’avoir de ses nouvelles ou même de vouloir qu’elle vienne lui rendre une petite visite à son boulot histoire de faire plus ample connaissance ! Elle se mordit une nouvelle fois la lèvre et posa ses coudes sur le comptoir avant de poser sa tête entre ses mains. HJ Celui-ci est plutôt pourri, désolée xD InvitéInvitéSujet Re I'm addicted to you, don't you know that you're toxic PV CALEBOUNET <3 Dim 3 Oct - 1414 Quand j’étais en Irlande, dans mon petit village où tout le monde se connaissait, j’avais eu mon succès auprès des filles. Je ne sais pas trop pourquoi ni comment. Elles me disaient souvent que j’avais cet air mystérieux et sensible qui les faisait immédiatement craquer. Je n’étais pas un Don Juan, mais je mentirais si je disais que je n’en avais pas profité. Les femmes, je les ai toujours traité avec respect. Galanterie. Honnêtement. Mais jamais je n’ai ressenti ce que je ressens à cet instant. Vous savez, ces papillons dans le ventre. Je l’ai tellement lu cette expression, tellement écrite aussi … que ça fait bizarre de comprendre ce qu’elle signifie. Tout comme cette sensation de bien-être. Vous savez, l’envie de sourire à tout bout de champ. L’envie de l’entendre. De la voir sourire. Pourtant, je ne la connais pas. Pas encore. Mais n’est-ce pas ça le coup de foudre ? Celui qu’on lit dans les bouquins ? Celui qu’on voit dans les films ? Celui dont la plupart des gens rêvent de connaitre ? Oui… Mais une seule par contre ! » me dit-elle, me sortant de ma torpeur. Je souris avant de la lui préparer. Quelque chose me dit que l’alcool n’est pas son point faible. Je dirais même qu’elle n’est pas du genre à sortir dans ce genre d’endroit. Tout comme le fait d’être Strip Teaseuse ne la définit pas. Très bien, une seule … Mais le prochain verre, je te l’offre, » lui fis-je un clin d’œil. Pas très subtil, ni très romantique pour une première soirée ». Je ferais mieux lorsque je l’emmènerais dîner … si j’ose l’inviter. Je lui tends son verre, et me cale sur le comptoir, ne cessant de la regarder. C’est une de mes particularités. J’observe tellement les gens, souvent pour m’en inspirer, que j’en oublie la politesse ». Elle rougit, je le vois à ses joues, me faisant encore plus craquer. Puis baisse le regard sur son verre. Puis m’avoue la raison de sa venue, terminant par la même phrase que la mienne … Tu ne serais pas venue ce soir, tu en aurais sûrement eu d’autres assez vite, » rigole-je. Parce que j’avais le pressentiment qu’il fallait que je la connaisse. Nos regards se croisent à nouveau. Pendant quelques secondes, impossible de décrocher. C’est ça alors ? Ce bouleversement total ? Je découvre. Et c’est aussi terrifiant que bonifiant. Alors il faut que je mette ma timidité de côté. Mon manque de confiance, comme dit Gary. D’ailleurs, c’est bien que tu sois là … je voulais t’inviter à dîner. Je termine dans une heure … » Pourquoi ce ton hésitant ? Ce ton légèrement effrayé » ? La peur qu’elle dise non. Qu’elle trouve une excuse pour ne pas accepter. Je te dois bien ça, après tout, » continue-je d’un ton que je tente de rendre désinvolte. Tu m’as bien redonné l’inspiration qui me manquait, » dis-je mystérieusement. Peu de gens savent que j’écris. Et ils sont tous en Irlande. Mais depuis que je l’avais croisé, j’avais écris deux chapitres. C’était déjà plus que ce que j’avais fait depuis plusieurs mois. Ne trouvant aucune histoire. Le problème de la page blanche. Pire cauchemar pour un écrivain. Et là, bam. Grâce à elle. Alors voilà, j’attends sa réponse. Parce que je veux la connaitre. Je veux tout savoir. Et j’espère bien qu’elle aussi, elle veut tout savoir.bof celui-là désolée InvitéInvitéSujet Re I'm addicted to you, don't you know that you're toxic PV CALEBOUNET <3 Dim 3 Oct - 2009 Il était tard, enfin, pas tellement pour une jeune femme comme Sookie mais pour le reste du monde il fallait avouer qu’il était tard… Alors que les gens sages dormaient à point fermer, que les enfants dormaient comme des bébés et que les petits vieux étaient dans un lit depuis belle lurette, Sookie, elle, n’était pas dans son lit. Non, et à vrai dire, à cette heure-là, elle n’est jamais dans son lit. Oui parce qu’elle n’est pas le genre de personne qui dort la nuit, noctambule malgré elle, elle a du se plier à des horaires quelques peu contraignants, parce qu’il fallait bien qu’elle gagne sa vie. Parce que si Sookie ne dormait pas la nuit c’est parce qu’elle était en train de travailler, en tant que Strip-teaseuse. Un métier aux antipodes de ce qu’elle était au fond d’elle Timide, réservée, rougissante et quelque peu maladroite. Pourtant lorsqu’elle mettait cette perruque rose et ses lentilles couleur bleu elle était une toute autre personne, elle devenait Bella et cette jeune femme était tout à fait différente de Sookie… Et bizarrement, ce n’était pas Bella qui avait plu à Caleb… Elle qui pensait que le personnage de la jeune femme totalement libérée, offrant son corps aux yeux des hommes pouvait être la femme qui risque le plus de plaire et pourtant Caleb avait réussit à ne pas tomber dans les filets de l’apparence qu’elle donnait pour découvrir la personne qu’elle était réellement et finalement, il semblait apprécier plus Sookie que Bella… une très bonne chose parce qu’apprécier une illusion allait finir par lui faire du mal… Et à elle aussi… Parce qu’elle l’aimait beaucoup, parce qu’elle avait réellement envie de le connaître et que, pour une fois, elle avait eut le courage de donner son propre numéro plutôt que celui du Pizza Hut alors ça voulait bien dire qu’il se passait quelque chose entre eux… Non ?Finalement, elle se retrouvait dans ce bar, face à lui, sans son accoutrement débile de Strip-teaseuse, aillant pris le soin de laisser Bella dans son placard, ça valait mieux pour tout le monde. Elle eut un petit sourire en l’observant préparer sa boisson, pourtant elle ne buvait pas souvent et elle était presque contre l’alcool et ce soir elle se retrouvait avec un verre et… un verre gratuit ! Lorsque Caleb lui répliqua qu’il allait lui offrir le second verre, elle ne pu s’empêcher de rigoler d’un rire enfantin, son clin d’œil augmentant le comique de la situation, non elle ne se moquait pas de lui, elle trouvait juste qu’elle allait finir saoule si elle prenait deux Tequila à la suite, seulement parce qu’elle ne buvait jamais. Elle le regarda avec un grand sourire dont elle avait le secret et leva les yeux au ciel avant de lui répondre Non, vraiment, qu’une seule consommation ça me va très bien… Je ne tiens pas l’alcool… ». Ca c’est un peu gênant venant d’une Strip-teaseuse qui respire des vapeurs d’alcool et de cigarette à longueur de soirée, il faut bien l’avouer… Elle se sentait un peu bête parce qu’elle avait aujourd’hui 23 ans et elle passait pour une pauvre petite chose vulnérable seulement parce qu’en réalité elle n’avait pas tellement profité de sa jeunesse comme le reste du monde, se concentrant sur ses études pour finalement échouer lamentablement et devenir Strip-teaseuse, le seul métier bien payer pour elle. Parfois elle se sentait quelque peu pitoyable, n’aillant même pas profité de sa vie, étant restée sage pour finalement louper complètement ses études… Son visage se renfrogna d’ailleurs quelque peu à cette pensée alors qu’elle se demandait l’image qu’elle pouvait avoir auprès de Caleb s’il apprenait un jour le parcours qu’elle avait eut. Peut-être allait-il se moquer d’elle ? Ou peut-être n’allait-il jamais tenter d’en savoir plus ? Non… il ne fallait pas parce qu’elle n’avait pas vraiment envie de lui raconter la raison pour laquelle elle était venue vivre à Sidney. Heureusement pour elle, ils changèrent rapidement de sujet, lui permettant d’ailleurs de rougir comme une tomate et de lui dire à quel point ça lui avait plu d’avoir de ses nouvelles…Ah ça oui, elle avait été heureuse de savoir que Monsieur Johnson voulait la revoir parce qu’elle aussi partageait cette envie. D’ailleurs, sa réplique la fit rougir encore plus, ses joues prenant une teinte entièrement rouge, se mettant même dans un embarras. Elle ne s’attendait pas à ce qu’il lui dise ça même si elle n’aurait pu qu’être heureuse en apprenant ça… En réalité elle était plus que contente qu’il lui avoue ça parce qu’elle savait maintenant que si elle n’avait pas eut le courage de venir ce soir, lui aurait essayé de la joindre parce qu’il souhaitait réellement la revoir et tout ceci lui faisait plaisir, même plus que ça. Elle allait bientôt craquer et son mordillement de lèvre en était le témoignage et sa façon plutôt suggestive de le regarder dans les yeux aussi. Cette façon de l’observer comme on regarde un jeune homme qu’on trouve particulièrement séduisant et qu’on a envie d’accoster sauf que cela faisait belle lurette qu’elle avait été accostée, et oui, c’était lui qui était venu en premier ! Et puis il continua et ce fut carrément le coup de grâce, si elle n’avait pas été assise, elle serait tombée de surprise. Il voulait l’emmener dîner ? Rien que tous les deux ? Elle avait l’impression d’être dans un rêve éveillé dans lequel le jeune homme qu’elle aimait bien lui demandait de dîner avec lui, un genre de dîner aux chandelles en… amoureux… Raaah c’était le comble ! Elle ne pu s’empêcher de sourire et de détourner les yeux, faisant presque mine de réfléchir alors qu’en réalité elle savait très bien la réponse et ce depuis bien longtemps, depuis qu’il l’avait demandé… Ah ça oui, elle avait envie d’y aller mais… Mais il y avait un hic… Il n’y avait aucun restaurant ouvert à une heure aussi tardive… Ca elle pouvait en être sûre ! Ah moins qu’il ne veuille l’emmener manger dans un fast food… Enfin, ça pouvait être drôle de manger dans un fast food… A vrai dire, elle aurait accepté n’importe où pourvu qu’ils puissent passer du temps ensemble afin d’apprendre à se connaître. De toute façon, elle ne serait pas être en train de manger, préférant largement l’observer… La suite cassa quelque peu son petit rêve éveillé où lui et elle partaient tous les deux manger dans un restaurant, se dévorant des yeux et finalement parlant pendant des heures et des heures… Pourquoi cassait-il son rêve ? Et bien parce qu’il venait glisser une certaine intrigue à la chose, ne lui offrant à vrai dire pas le temps de répondre à sa proposition. Il lui redevait bien ça ? Elle lui avait redonné l’inspiration ? C’était quoi ça ? Hum… Beaucoup de question qui l’obligèrent à froncer les sourcils, tout de suite intriguée par ses paroles. Alors comme ça elle lui avait redonné l’inspiration… Mais pour faire quoi ?! Là était tout le problème, elle n’avait aucune idée de ce que pouvait bien faire Caleb chez lui et ce en quoi elle avait pu l’aider… En tout cas, elle devait bien avouer qu’elle était flattée de l’avoir aidé en quoi que ce soit ! Se penchant encore une fois sur le comptoir, décidément elle allait finir par trop se pencher et montrer sa culotte au reste de la salle, elle demanda au jeune homme avec un petit sourire aguicheur et une petite moue séductrice Je serais ravie de dîner avec toi mais je dois te prévenir que les restaurants sont fermés à cette heure-là, à moins qu’un fast food te tente… Moi ça me gêne pas tu sais… ». Prenant son verre entre ses doigts, elle fit le tour du rebord avec son doigt, observant Caleb avant de continuer Mais dis-moi… En quoi j’ai bien pu t’inspirer ? J’espère pas que tu veux te reconvertir en… Strip-teaseur, tu vaux beaucoup mieux que ça… ». Sous entendu ? Ne fais jamais la connerie que j’ai fait moi ! Ah ça oui, il valait bien mieux que ça et elle pouvait bien en témoigner parce qu’aujourd’hui elle devait bien faire attention à ce qu’on ne voit pas trop son tatouage pour ne pas faire le rapprochement avec la Strip-teaseuse qu’elle était… Elle n’aimait pas son boulot, elle ne le souhaitait pas à quelqu’un comme Caleb qui semblait être un jeune homme avec de l’avenir… Même si elle aurait pu payer très cher seulement pour assister un striptease de votre serviteur… InvitéInvitéSujet Re I'm addicted to you, don't you know that you're toxic PV CALEBOUNET <3 Mer 6 Oct - 1946 Non, vraiment, qu’une seule consommation ça me va très bien… Je ne tiens pas l’alcool… »Je ne relève pas sa phrase. Du moins, je ne le montre pas. Mais je note. Qu’elle ne soit pas une fan » d’alcool me plait. Ce n’est pas que boire soit un problème, au contraire, apprécier le bon alcool est une qualité … mais on sait que ce n’est pas forcément bon d’en abuser. J’ai connu trop de femmes en Irlande qui abusaient de la bière … Non, merci. N’importe qui, à cet instant, en profiterait pour la faire boire. Juste pour rigoler, voir ce que ça donne quand elle se lâche. Un autre homme lui répondrait que ce n’est pas un problème, le fait de ne pas tenir l’alcool … qu’il fallait vivre sa vie sans regret. Et tout le tralala habituel. Mais pas moi. Jouer avec les gens, profiter des femmes, ce n’est pas mon passe-temps. Encore moins avec Sookie. Tu as bien de la chance … j’en connais qui peuvent boire plusieurs verres d’affilés sans être spécialement affectés … et crois-moi, y a rien de plus dangereux », répondais-je laborieusement. Comme si ça l’intéressait de savoir ça. Mais c’était mon côté gauche qui ressortait. Alors, pour rattraper le coup, je me racle la gorge et sert quelques autres clients tout en continuant de lui parler et de l’écouter. De la regarder. De voir ses joues rosir ou encore son visage me sourire. Bizarre comme les réactions d’une personne peuvent vous atteindre. Comme le fait d’avoir le cœur qui bat fort en attendant sa réponse. Cette réponse fatidique, simple et banale, mais tellement importante pour vous. Et enfin, elle sourit. Je sais donc que la chance serait de mon côté. Je ris légèrement à sa réponse. C’est vrai que je n’ai pas réellement réfléchis au fait qu’aucun resto ne serait ouvert à cette heure-ci. De travailler la nuit, j’en oublie les horaires habituelles du monde extérieur au pub. Je me rattrapais un autre soir, pour le restaurant … Mais, j’avoue que » … quoi ? Que je veux passer la soirée avec toi ? Que je veux qu’on aille manger un morceau, quitte à ce que ce soit un hamburger-frites ? Que peu importe où on ira, tant qu’elle sera là ? Ouais, ça fait un peu trop Roméo », et il y aurait de quoi la faire fuir. Ça ne me gênerait pas non plus un hamburger, » dis-je en rigolant donc. Je n’en ai pas mangé un seul depuis mon arrivée ». Je ne réalise pas trop ce que je lui dis, lorsque je parle de mon inspiration revenue. C’est comme si les mots sortaient normalement et de manière fluide avec elle. Habituellement, parler de ma passion d’écrire n’est pas du tout une chose que je fais. Au contraire, quand on me pose des questions, je change de sujet dans l’immédiat. Elle semble intriguée. Voire même agacée », pas dans le sens négatif, mais un côté curieux qui l’envahit. Pourtant, elle trouve le moyen d’en faire une blague. Strip Teaseur ? Moi ? Je ne pense pas que je ferais fureur … ni que j’aurais ce cran qui l’habite. C’est une idée, » rigole-je. Après tout, si ce job devait m’échapper, je saurais où me rendre ». Cela dit, toi aussi tu vaux mieux que ça. J’aurais envie de lui dire. Mais ça ne se fait pas. Pas pour le moment. Mais c’est une évidence, elle vaut mieux que ça. A ce moment-là, une bouteille qui tombe se fait entendre. Dans un bruit sourd. Un type légèrement éméché. Sans avoir un air dangereux, mais je le sais bien, ils ne l’ont pas tous … Il semble y avoir une dispute en milieu de piste. Je souris donc à Sookie, la rassurant. Tu m’excuse une minute, je vais régler ça … et ensuite, » fais-je un autre clin d’œil, je t’emmène dîner dans le meilleur fastfood de Sydney ». Et c’est ce que je fais. Me dépêchant, pressé de passer le reste de la soirée en sa compagnie. InvitéInvitéSujet Re I'm addicted to you, don't you know that you're toxic PV CALEBOUNET <3 Jeu 7 Oct - 2217 Qu’il ne relève pas la phrase était à vrai dire quelque chose de plutôt agréable pour la jeune femme qui se sentait légèrement idiote à dire quelque chose comme ça dans un bar où le but est quand même de consommer où sinon on vous dit gentiment de sortir vu qu’on ne trouve pas d’intérêt à votre présence en ces lieux. Il fallait avouer qu’elle avait commandé parce qu’elle en était obligée et que si elle avait réellement eut le choix elle n’aurait pas commandé une boisson, elle se serait contentée de rester assise sur son tabouret et puis, de toute façon, elle n’était même pas sûre de boire son verre parce qu’elle n’était même pas sûre de pouvoir quitter une seconde Caleb des yeux… Peut-être pouvait-elle le renverser sur elle pour pouvoir aller dans un endroit tranquille avec lui pour parler ? A vrai dire, elle n’aimait pas vraiment l’ambiance qui régnait dans le bar, ce genre d’ambiance quelque peu malsaine où les gens boivent souvent pour boire et pour être ivre pour oublier leurs peines… C’était un peu pitoyable et ne donnait pas du tout envie de rester ici… Elle avait envie de s’enfuir avec le jeune homme qui lui faisait face, elle avait envie de s’enfuir loin et de parler jusqu’à la fin de la nuit de choses et d’autres comme si le temps n’avait plus d’emprise sur eux… Ou pas… Voilà que son côté romantico-débile refaisait surface et qu’elle commençait à trouver ce jeune homme beaucoup plus qu’intéressant, intriguant et agréable… Elle avait réellement envie de le connaître, c’en était déroutant, bouleversant et faisait ressortir en elle quelque chose qu’elle aurait pourtant voulu avoir caché le plus profond possible parce que, décidément, ça lui donnait l’air d’une pauvre petite vierge effarouchée de quinze ans alors qu’en réalité, elle était certes, vierge, elle était aussi beaucoup plus âgée qu’une fille de quinze vu qu’elle en avait vingt-trois. Enfin bref, elle devait déjà avoir l’air d’une idiote de toute façon en parlant comme ça à Caleb, comme si elle ne tenait pas l’alcool et pourtant c’était bien le cas… Tellement peu habituée à boire, la jeune femme ne tenait pas du tout l’alcool et pouvait finir pompette après deux verres ! C’était bien pour ça qu’elle s’était efforcée de dire à Caleb qu’elle n’allait pas reprendre de verre, déjà que finir celui-ci allait être compliqué même si c’était sûrement ce qu’elle préférait dans les alcools même si c’était un alcool plutôt fort. Finalement elle n’avait pas l’air si bête, elle aurait très bien pu commander une bière ou quelque chose comme ça et avoir réellement l’air d’une idiote cette fois-ci, là elle faisait juste attention à ce qu’elle buvait parce qu’elle ne voulait pas être ivre et commencer à divaguer parce que sinon elle serait réellement pitoyable, quoi que amusante !Les paroles de Caleb la surprirent quelque peu, elle ne savait pas réellement comment les interpréter, était-ce pour rire ? Ou était-ce une façon peu appropriée de lui dire qu’il la comprenait dans le fait qu’elle n’aime pas l’alcool ? Ne comprenant pas très bien le but de son intervention, la jeune femme lui adressa tout de même un sourire doux et se concentra sur sa boisson. Elle aimait beaucoup l’odeur mais surtout la couleur du breuvage, se perdait à chaque fois dans les reflets causés par la luminosité de l’endroit où elle le buvait et aussi à cause de son contenant. Pendant cet instant Caleb avait décidé de repartir s’occuper de ses clients, elle avait réussit à totalement occulter le fait qu’elle venait le déranger à son travail et que pourtant, oui, il était bien là ce soir, derrière le bar, en tant que serveur pour gagner son argent. Elle aurait pourtant aimé qu’il puisse lui donner entièrement son attention, et bien oui, elle était plutôt égoïste et aimait bien l’idée d’avoir le jeune homme rien que pour elle afin de le mitrailler de question juste pour savoir chacun de ses centres d’intérêts, si il aimait le sport, la musique, l’écrire, la lecture, la cuisine… Elle voulait tout savoir de lui parce qu’elle le trouvait tellement intéressant, c’était surprenant mais qu’importe. Il était vrai qu’elle n’avait jamais ressentit cela pour personne, cette envie de la connaître par cœur, tout de suite, dés le début, souhaitant brûler les étapes afin d’en arriver à quelque chose de concret mais elle ne pouvait pas non plus déprécier ce sentiment qui flambait haut en elle. A vrai dire elle adorait ça, ça la rendait complètement folle et ça la poussait à aller contre sa nature de petite fille sage et réservée, c’était une bonne chose, Caleb était une très bonne façon de la changer. Tout allait bien vite entre eux et c’était sûrement la meilleure chose qui pouvait arriver dans la vie un peu monotone de Sookie. Parce que oui, être une stripteaseuse était quand même quelque chose de monotone, vivre la nuit était monotone, très monotone à vrai dire ! Et sortir ce soir, découvrir du monde, parler à Caleb, rendait à Sookie quelque chose qu’elle avait perdu depuis bien longtemps son côté social… Elle avait perdu tout son sens de la communication avec les autres, préférant rester seule au maximum, ne pouvant plus sortir la nuit et préférant ne pas sortir la nuit. Elle se préférait invisible, elle ne voulait pas qu’on reconnaisse la Bella » qui était en elle, jamais… C’est alors que Caleb revint vers elle après avoir servit ses clients, répondant à la question muette qu’elle se posait Est-ce qu’ils allaient passer beaucoup de temps ensemble désormais ?! La réponse semblait être oui ! Car en plus de vouloir manger avec elle ce soir, Caleb avait pris au pied de la lettre son sous-entendu et avait tout de suite compris qu’elle voulait bien passer du temps avec lui et il lui proposait maintenant de se faire un vrai restaurant digne de ce nom, tous les deux… Tous les deux ?! Elle n’arrivait pas à y croire, c’était presque impossible ! Elle eut un petit rire et ajouta avec douceur, observant le jeune homme tout en faisant tourner l’olive dans la Tequila Si chacun paie sa part j’accepte ! Je ne suis pas quelqu’un qui aime se faire payer son repas sur le dos des gens si c’est pour passer un bon temps ensembles… ». Technique de drague de Sookie numéro un en place, elle commençait à jouer avec ce qu’elle avait sous la main en observant longuement le jeune homme avec un sous-entendu plutôt explicite dans les yeux Elle ne venait pas pour le dîner mais pour lui et qu’importe si ils mangeaient un hamburger ou alors du homard, ça n’avait pas d’importance. La jolie brune se mit ensuite à sourire lorsqu’il lui répondit que lui non plus n’était pas contre l’idée d’aller manger un hamburger, tant mieux, c’était tout à fait parfait ! Son arrivée ?! Elle n’avait même pas remarqué qu’il avait un accent mais maintenant qu’elle le savait qu’il était étranger elle voulait bien savoir de quel pays il pouvait bien venir ou, tout de moins, de quelle ville il pouvait venir et c’est pour cette raison qu’elle se décida à lui dire Depuis que t’es arrivé ? Tu vivais où auparavant ? ». La jolie blonde avait ensuite laisser entendre que Caleb valait bien mieux que le boulot de stripteaseur et elle savait qu’elle avait bien raison car plus elle apprenait à le connaître et plus elle se disait que ce jeune homme était unique, spécial, intéressant. Elle ne put tout de même s’empêcher de rire à ce qu’il lui répondit, le pauvre, elle ne le voyait pas stripteaseur, ce n’était pas vraiment le plus grand plan de carrière mais malgré tout elle ne pu s’empêcher de lui dire d’une voix amusée Et bien préviens-moi ! Je te donnerais des cours ! ». Elle n’avait pas pu la retenir celle-là et ce n’est qu’après coup qu’elle comprit ses paroles, elle porta sa main à ses lèvres et ouvrit de grands yeux avant de reprendre la parole, penaude en ajoutant Je… Enfin… Désolée… C’était pas très élégant… ». Immédiatement ses joues devinrent rouges et elle trouva la meilleure des occasions pour boire sa Tequila, elle prit son verre et le bu cul-sec, grimaçant quelque peu lorsque l’alcool fort se fraya un chemin dans son corps. Heureusement pour elle, un bruit de verre cassé se fit entendre, un homme venait de faire tomber une bouteille ce qui obligea le jeune homme à s’enfuir, Sookie lui fit un petit signe de tête pour lui faire comprendre que ce n’était pas grave et qu’il se devait même d’y aller et ça lui donnait en même temps un instant pour pouvoir reprendre ses esprits après sa magnifique bourde, ah c’était bien sa vaine, il fallait qu’elle passe pour la pire idiote de la terre ! Contenu sponsoriséSujet Re I'm addicted to you, don't you know that you're toxic PV CALEBOUNET <3 I'm addicted to you, don't you know that you're toxic PV CALEBOUNET <3 Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum COMMENCEMENT. Corbeille

Prendreune partie de la pâte levée, la poser sur un plan fariné et avec les mains former une pâte ronde de 20-25 cm de diamètre et de 1-2 cm d’épaisseur. Placer au centre de la pâte une partie de la garniture, refermer en pliant la pâte en deux et bien sceller les bords. Dans une poêle anti-adhésive, chauffer l’huile de tournesol

Du temps où elle avait été à la Shin-Ra, les trajets dans l'espace avaient toujours été quelque chose de reposant ; entre deux missions, après une entrevue, un rendez-vous dans la Maison Mère. A l'époque ou la Shin-Ra avait été moins invasive, elle avait été de ces membres qui formaient son bras armé, non pas l'épée dans sa main, mais le poignard qu'elle gardait dans le dos de sa ceinture, celui qui ne servait pas pour les cérémonies. Ici et maintenant, c'était assise contre la cloison du vaisseau qui ramenait l'équipée de la Lumière après la réunion -ô fiasco immonde dont l'idée s'installait progressivement dans les esprits, qu'elle pensait à tout ça. Car penser était, dans ces cas là, la seule et plus utile des choses à faire. Le vaisseau était grand et silencieux, hormis les quelques bruits métalliques qui étaient plutôt rassurants, en fin de compte. Car s'il n'y en avait aucun, qu'est-ce qui aurait pu garantir la bonne marche de ce tas de tôle ? Pas grand chose. Il faisait route vers le Château Disney. C'était avec une grande satisfaction que Cissneï songeait au retour, ce monde, c'était un peu sa maison depuis les années qu'elle avait passées a la Lumière. Elle pensait que d'un côté, ce n'était pas un mensonge -ni à elle même ni à personne d'autre, d'utiliser les mots chez elle » pour le qualifier. Même si maintenant, elle songeait que même si le temps qu'elle avait passé lui permettait de clamer ce monde comme sa maison, elle ne pouvait tout de même pas, dans la mesure où elle ne faisait aucun effort pour le défendre. Ses pensées étaient toutes en conclusions plus ou moins concises, le sang qu'elle avait perdu lui brouillait les idées de sa cruelle absence ; mentalement, elle était passée du déni au stade de la réalisation. Où tout se mélangeait. Elle se rappelait petit à petit depuis son retour à la conscience ce qui s'était passé ; le Bahamut d'Ariez, le Sanctum, ayant organisé cette Réunion » baissant les bras repartant en voyant le fiasco que cela avait été. Car oui elle avait perdu conscience, un court laps de temps. Et si elle se tenait maintenant assise, c'était... Elle ne pouvait l'expliquer. Elle s'était redressée, dans un état de torpeur où la pensée ne lui avait pas été permise. Et elle était restée comme ça, ses sens comme réduits à néant, les deux mains posées sur le bas de son ventre, là où, légèrement déporté sur le côté, s'était invitée depuis quelques.. Heures ? Minutes ? Une plaie peu ragoutante, un dernier cadeau d'avant-départ de l'autoproclammée Reine de la Coalition Noire. Les sorts de soin avait permis à l'épanchement du flot de sang, l'ex-Turk pouvait se mentir en disant que ce n'était rien de grave. Aucun organe vital n'avait été atteint. Aucun donc, car pour quelqu'un qui comptait se battre encore longtemps, tout organe était utile, car elle ne s'imaginait pas se battre avec un bout de poumon ou d'intestin en moins, ah ça non. Le vaisseau était spacieux, cette idée lui sauta à l'esprit. Brusque retour au monde réel alors que ses sens s'affinaient petit à petit. Elle avait juste envie de dormir, une envie sourde que le devoir essayait de faire taire. Quel devoir alors qu'elle n'avait plus rien à faire ? C'était vrai, d'un côté, la mission du jour » aussi importante fut-elle était terminée désormais, avec sa belle traîne de problèmes. Cissneï aperçut Aqua, qui l'avait accompagnée à cette Réunion, sur un banc en face d'elle. Elles étaient toutes deux l'une en face de l'autre, sur deux bancs, dans un recoin du vaisseau. Elle n'aurait pas pu décrire l'air de son visage. C'est un échec complet.. pas vrai ? » se risqua-t-elle. Sam 9 Nov 2013 - 1730Elle en avait oublié le monde qui l'entourait. Depuis son brusque réveil, Aqua s'était assise sur la banquette qui lui avait servi de couche de fortune, les mains posées sur les genoux, le regard perdu dans le vide, et n'en avait pas bougé. Il lui avait fallu de longues minutes pour se calmer, et si désormais elle semblait en apparence sereine, son cœur était loin d'être apaisé. Elle sentait toujours un poids l'alourdir, comme si une ombre mystérieuse était venue l'étreindre avant de le transpercer, n'y laissant qu'une tristesse diffuse et inexplicable. La jeune femme pensait. Elle pensait à son rêve. Elle rêvait. Mais cette fois, elle était éveillée, et à chaque seconde qui passait il lui semblait que des éléments de ce songe s'évaporaient dans la réalité. Aqua inspira longuement. Cela avait semblé tellement réel. Vrai et pourtant lointain, comme l'état d'absence dans lequel elle flottait actuellement. Il lui semblait avoir déjà vécu cela, de longues années auparavant. Était-ce réellement un produit de son imagination après tout ? Elle ne croyait pas aux rêves prémonitoires, mais quelque part son instinct lui murmurait qu'il s'agissait d'un avertissement plus que d'un songe. Aqua frissonna avant de serrer un peu plus ses jambes contre son corps. L'espace était froid. Ce vaisseau était froid. Le rêve s'était presque complètement envolé maintenant, pour ne laisser derrière lui que tourments. Pourtant, il y avait une image qu'elle ne parvenait à oublier, qui demeurait précise au milieu du brouillard qui envahissait son esprit. Au fin fond des ténèbres, c'était Maître Yen Sid qu'elle avait vu disparaître... C'est un échec complet... pas vrai ? »Aqua cligna plusieurs fois des paupières et revint à la réalité sans vraiment la comprendre, complètement groggy. Elle chercha difficilement du regard avant que ses yeux ne se posent sur Cissneï, assise en face... Elle en avait oublié sa présence. La maîtresse de la Keyblade ouvrit la bouche pendant quelques secondes, prête à lui répondre, mais finit par la refermer, les yeux dans le vague, l'air légèrement hébétée. Que pouvait-elle bien répondre à cela ? Tout en elle était engourdi, ses pensées d'autant plus... Et une réponse pareille ne pouvait se donner à la légère. La jeune femme avait été tellement obnubilée par son rêve qu'elle en avait provisoirement oublié la réunion, pourtant l'évènement le plus important que les mondes aient connu depuis la formation des différents groupes. Hormis leur état pitoyable à toutes les deux dû à leur survie de justesse face à l'attaque de Bahamut, que restait-il de cette réunion ? Qu'auraient-elles à annoncer dès leur retour au Château Disney ? Rien. La Lumière n'avait pas été en mesure de faire entendre raison à la Coalition Noire, naturellement. Mais plus inquiétant, elle n'avait pas été en mesure non plus de raisonner les autres groupes. Enfin, même leurs positions auprès du Consulat n'avaient pu être réaffirmées. Des heures sombres approchaient, et leur situation n'avait rien d'enviable. Il n'y avait, et ce malgré son optimisme, définitivement rien à tirer de cette réunion. Égoïstement, elle pouvait prétendre qu'au moins Raido avait été libéré. Mais était-ce véritablement une bonne chose... ? Aqua sortit de sa réflexion et fixa sa supérieure. La maîtresse de la Keyblade n'imaginait que trop bien à quel point elle devait se sentir responsable de ce manque de résultat. Certains, ceux qui reprochaient un manque d'autorité et d'activité de sa part, n'hésiterait pas à lui rejeter la faute, mais Aqua savait qu'elle faisait tout ce qui était en son pouvoir, et en ce qui la concernait la Générale Cissneï avait sa totale confiance. C'est un échec. » confirma-t-elle en modérant le propos de sa supérieure. Sa voix habituellement douce était légèrement éraillée par la fatigue, mais elle ne s'était pas départie du calme qui lui était propre. En cette situation, la dernière chose dont elle aurait eu envie était de donner à Cissneï l'impression qu'elle la se leva difficilement, étirant ses membres meurtris avec précaution. Ses jambes étaient cotonneuses et parvenaient à peine à la soutenir. Elle fit quelques pas et s'arrêta au niveau d'un hublot pour regarder l'espace, mais ce fut son reflet qui lui sauta aux yeux. De longues cernes, le visage noirci par la déflagration, une joue tuméfiée... Elle était à faire peur. Son regard bascula vers l'infini qui s'étendait à l'extérieur du vaisseau, et la jeune femme s'attarda sur diverses étoiles qui devaient être autant de mondes que la Lumière se devait de protéger. Nous allons probablement vivre une période de crise. Dans une situation semblable, vos prédécesseurs n'ont pas failli et je suis certaine qu'il en ira de même pour vous Général. » Mais qu'en savait-elle, au fond, de l'année noire à laquelle elle faisait allusion ? Sa voix, bien que toujours audible, semblait se perdre dans un murmure. Si nous continuons de croire en nos principes, en notre devoir, aucune ombre ne pourra affaiblir notre lumière... »Ces mots, elle les avait déjà entendus plusieurs centaines de fois pour les avoir prononcés. Mais aujourd'hui ils avaient une résonance particulière... Est-ce qu'au fond, ça n'était pas elle-même plus que Cissneï qu'elle essayait de rassurer ? Les attitudes de certains leaders, l’ambiguïté de Genesis Rhapsodos, le mépris du capitaine Teach, la folie d'Ariez, éveillaient en elle une peine qu'elle n'aurait su expliquer, comme si elle avait enfin constaté pour la première fois, et avec dégoût, ce qu'était réellement devenu le monde après tant d'années. Incertaine, déjà, de pouvoir s'y adapter un jour, elle en venait à douter de la confiance qu'elle pouvait lui accorder, déchiré qu'il était par tant de velléités personnelles. Aqua posa son front contre le hublot froid. Elle cligna des yeux. Au loin, il semblait, peut-être, qu'une étoile s' 11 Nov 2013 - 1747Du temps où elle avait été à la Shin-Ra, les trajets dans l'espace avaient toujours été quelque chose de reposant ; entre deux missions, après une entrevue, un rendez-vous dans la Maison Mère. A l'époque ou la Shin-Ra avait été moins invasive, elle avait été de ces membres qui formaient son bras armé, non pas l'épée dans sa main, mais le poignard qu'elle gardait dans le dos de sa ceinture, celui qui ne servait pas pour les cérémonies. Ici et maintenant, c'était assise contre la cloison du vaisseau qui ramenait l'équipée de la Lumière après la réunion -ô fiasco immonde dont l'idée s'installait progressivement dans les esprits, qu'elle pensait à tout ça. Car penser était, dans ces cas là, la seule et plus utile des choses à faire. Elle serra les poings et baissa les yeux, l'affirmation de cet échec, bien que dit dite d'une voix tout autre que méchante ou pleine de reproche abattit sincèrement Cissneï. Elle ne savait que répondre, elle ne savait que faire. Elle était pour une fois en chemin vers une destination qu'elle connaissait, mais ne faisait néanmoins rien. Pour une fois, elle restait soumise aux caprices d'un destin qu'elle ignorait, dont elle se fichait éperdument. Son cœur tirait dans sa poitrine, elle avait même l'impression de l'entendre battre dans sa gorge. C'était quelque chose d'horrible. Elle avait une envie subite ; celle de se réfugier là où personne ne pourrait la regarder pour ramener ses genoux contre sa poitrine, les entourer de ses bras et pleurer de tout son saoul. Elle avait cette idée fixe, de vouloir pleurer pendant des heures sans que personne ne vienne la déranger. De redevenir cette petite fille, celle qui était morte en tendant la main vers la Shin-Ra, celle qu'elle avait oublié dans les flammes de la Forteresse Oubliée. Son cœur avait bien pu être dévoré par un de ces sans-coeur ce jour là ; cela n'aurait pas fait de différence. Elle n'aurait ainsi pas été rejoindre les rangs de la Lumière et simplement rester mercenaire, tueuse jusqu'à ce qu'elle même se fasse tuer. Nous allons probablement vivre une période de crise. Dans une situation semblable, vos prédécesseurs n'ont pas failli et je suis certaine qu'il en ira de même pour vous Général. »Aqua parlait, et la générale écoutait. Elle hochait la tête, oui en effet, ils n'avaient pas failli. C'était une certitude. Ces figures du passé se montraient telles des statues, qui bordait un fleuve. Cissneï, elle, était dans une barque, emportée par le courant. Elle regardait ces figures ternes d'un passé héroïque. Ils tenaient là, mémoires inoubliables contre vents et marées. Elle, continuait sa course vers des chutes d'eau lointaines dont elle entendait le grondement. Devant la fin du temps et des mondes, qu'était-elle ? Elle se blâmait d'être née à ce moment précis, quelques vingt années avant cela, pour être ainsi en pleine conscience et possession de ces moyens à ce moment précis. Si nous continuons de croire en nos principes, en notre devoir, aucune ombre ne pourra affaiblir notre lumière... »Elle s'arrêta de penser. Comme si elle freinait, sortait de cette barque. Une ombre, c'était ce qui tirait son cœur. C'était ce qui voulait la faire chialer comme une morveuse. Cela ne la départit pas de cette envie, mais néanmoins, elle y trouva un certain dégoût. Une certaine répugnance à cette facilité. Je n'ai aucune idée de quoi faire... Avec la Lumière... Je l'ai enfoncée dans tout ça.. » parvint-elle à dire. Sa voix la surpris. Légèrement, au début, puis à mesure qu'elle s'entendait, cela s'aggrava. Ce couinement passablement énervant, venu d'une gorge serrée par la peur et la tristesse. Une voix désespérément humaine, désespérément faible. Elle serra les dents. Ses phalanges ne lui permettant pas de serrer les poings plus fort commencèrent à pâlir. Il faut que je me reprenne. » pensait-elle. Mais elle dit cela à haute voix. Il faut que je me reprenne, je ne peut pas rester prostrée comme ça, à attendre que les choses passent. Pas maintenant. »Ses lèvres se tendirent en une ébauche de sourire, des larmes perlèrent au coin de ses yeux. Mais quitte à ne plus rien y voir, elle les ravalerait. Ce serait plus long que de les faire simplement rouler le long de ses joues, c'était inéluctable mais elle ne se le permettrait pas. La guerre est déclarée, le Consulat me paraît bien égocentrique... La Coalition est folle, au service de la reine du mal. Le Sanctum... Excédé, comme si on se battait comme des gamins... » dit-elle avec un air songeur, qui se mua petit à petit en air réfléchi. Il faudrait en tirer parti, je sais pas, faire quelque chose. Maintenant, tout ce que l'on pourra trouver, il faudra s'en servir comme d'un avantage.. »Dim 17 Nov 2013 - 354

Ladifférence avec le modèle G1000602 Evo. La marque Ferrari, avec le modèle de Four Delizia G1000602 Evo, a encore amélioré sa gamme en lui permettant d’atteindre une température allant jusqu’à 400 °C.. Une véritable prouesse pour un four électrique, qui tend à imiter au plus près les fours à pizza à bois, utilisés par les meilleurs Mise en garde pour les publics les plus jeunes et les plus sensibles Nous nous trouvons à présent dans un état assez avancé, plus qu’on aurait dû l’être en tout cas au vu des circonstances. Les enfants sont couchés, l’eau en bouteille commençant à manquer, on s’est dit pourquoi pas ? ». La bouteille de rhum brun nous faisait de l’oeil depuis quelques heures, on a sauté le fait silencieux dans l’appartement. Dès que les enfants partent se coucher, c’est le calme plat. Tous les soirs la même rengaine, je fais des tours de garde ; je regarde à travers les fenêtres régulièrement ou en cas de bruit suspect; j’inspecte la cage d’escalier. Ginny me regarde faire sans trop commenter, je sens juste qu’elle n’est jamais sereine à chaque fois que j’ouvre cette porte d’entrée. Mais donc ce soir, au lieu d’un long silence ponctué de quelques conversations somme toute banales, nous sommes effectivement toujours peu bavards, mais nous nous mettons à pouffer toutes les dix minutes environ, sans raison particulière. Quand l’un commence, l’autre enchaine. C’est la pression qui retombe sans dois pas avoir bu tant que ça pourtant. Je suis pas un pilier de comptoir non plus mais je ne suis pas bourré, je sais ce que je fais, et je commence pas déblatérer des conneries. Mais voilà, c’est plus fort que moi. Demelza serait assurément sur le cul si elle me voyait dans cet état, elle qui me reproche de ne jamais rire ou presque. Oui, je l’horloge, quelques heures ont passé depuis que les enfants sont au lit. Je sens que les effets de l’alcool commencent à diminuer. On est assis dans le divan, l’un à une extrémité, l’autre à l’opposé. Je finis par me racler la gorge pour signaler que je commence plus ou moins à réaliser qu’on était vraiment ridicules et qu’il serait peut-être temps de…-Ouais, je vais aller me rafraichir, puis au lit ! Essayez de dormir, Isa. Ce serait con de vous mettre vous ne nous serviriez plus à grand-chose, aux enfants et à hoche la tête sans vraiment le penser. C’est bien gentil de dire cela mais l’appartement ne va pas se surveiller tout seul. Elle se lève et prend la grande casserole d’eau chaude qu’elle a fait chauffer sur sa cuisinière. Elle disparait dans le couloir et j’entends l’eau se déverser dans —je suppose— sa baignoire. J’en profite pour refaire une petite inspection de l’appartement. Je vérifie la solidité du verrou en forçant un peu sur la porte, je vérifie que son le magasin de son arme est bien plein, je vérifie que les lumières des chambres des enfants sont bien éteintes en regardant à travers les interstices. En revenant dans le living, j’éteins la lumière et m’assieds à moitié couché dans le fauteuil, bras croisés pour me réchauffer. J’attrape le plaid et m’engouffre dessous Tout est calme à présent, j’en profite pleinement. L’alcool qui me reste dans le sang m’engourdit encore un peu d’une façon plaisante. Les lumières de la ville, les explosions ne sont plus que de jolis spectacles à admirer de loin. Je ne m’inquiète pas de savoir si notre » immeuble ne peut pas être emporté par une explosion, je sais que je ne pourrais pas l’empêcher quoi qu’il en soit, alors pourquoi m’en préoccuper. Après quatorze jours, il est temps d’accepter qu’on a cessé de contrôler quoi que ce présent, je sens que la pièce est un tout petit peu moins calme. Elle n’a pas fait de bruit en arrivant, mais je comprends que Ginny est là. Je tourne les yeux vers elle et surprends son ombre l’encadrement de la porte où elle fait contre-jour. Ses cheveux sont mouillés, elle porte un déshabillé, rien de choquant ou d’indécent non, juste assez révélateur de ses formes. Je prends un moment pour réfléchir à ce qu’il se passe, j’attends qu’elle dise quelque chose mais elle n’en fait que… est-ce qu’il y a un souci ?-Je me suis dit que ça vous changerait un lit ne peut pas être une coïncidence, elle n’est pas venue me proposer d’échanger nos places et de dormir dans le canapé cette nuit, pas dans cette tenue. Je suis à présent forcé de la regarder d’un jour nouveau. Elle n’est évidemment pas déplaisante malgré les quelques signes de l’âge qui marquent son visage et sa voix. Son corps est féminin et généreux et je dois bien reconnaître que la vue qu’on peut avoir d’elle derrière n’est jamais déplaisante. La vraie question n’est pas de savoir si elle pourrait me plaire et si je pourrais en avoir envie. D’une façon assez étrange, je me rends bien compte que le confort que l’on ressent en sentant une présence féminine à ses côtés commencent à me manquer. Bien sûr que je préférerais que cela soit avec Demelza, bien sûr que c’est au delà de son physique attrayant, mais ouais, il se pourrait aussi que là j’en aie juste envie et que je me dise Ok, qu’est-ce que ça change ? Elle va pas s’attacher, pas tomber amoureuse. Elle en a envie, t’en as envie. » Alors ouais, c’est peut-être les vestiges de l’alcool ou toutes ces fois où Demelza a pu sous-entendre qu’il n’y avait pas que moi, mais je me lève et la suis dans sa chambre comme un enfant qu’on prend par la entre alors dans la pièce, je l’ai déjà regardée vite fait mais les lumières sont éteintes à l’exception d’une lampe de chevet peu lumineuse. C’est pas plus mal en fait. Le moins qu’on puisse dire c’est que Ginny n’a pas des goûts de luxe. Certains objets de mauvais goût trainent çà et là, je pose mes yeux un peu partout autour de moi ne sachant pas que faire avec cette femme que je n’avais pas envisagée de cette façon avant… il y a cinq minutes. Je ne m’abaisserai pas à dire qu’elle sait y faire…mais elle prend les choses en main de toute évidence et sans dire quoi que ce soit. Je sens ses mains passer sur ma taille et descendre bientôt jusqu’au bord de mon tee-shirt auquel elle s’agrippe. Le mouvement de ses doigts descendants a immédiatement pour effet de faire monter la tension et je me crispe imperceptiblement au niveau du dos. Elle m’invite à retirer mon haut en souriant. Elle regarde mon torse prenant un peu de recul. Je me sens un peu jugé et j’attends son verdict. Elle hoche la tête et sourit d’autant suis loin d’avoir le corps bien bâti que j’ai pu avoir à une époque mais elle semble apprécier le côté étroit de ma zone à mon tour de m’approcher et de passer les doigts sous le rebord de son déshabillé. Je pars de l’épaule dont je sens l’os saillant puis je descends progressivement, passant mon doigt sur son sein droit, j’y sens le grain de sa peau réagir à ce contact et de tous petits monts naître sous mes doigts encore froids. Elle ne peut réprimer un gémissement qui est loin de me laisser indifférent. Je passe bientôt ma main sur ses cotes, en dessous de la ceinture dont je force l’ouverture en tirant vers moi. Le vêtement glisse aussitôt sur le sol. Elle n’a plus qu’une petite culotte sur elle qui ne laisse définitivement plus grand mystère. Elle recule et s’assied sur son lit, coudes en appui vers l’arrière et jambes croisées. J’arrache pratiquement les vêtements qui me restent et avance sur le lit la surplombant à présent. Elle recule d’autant plus en se trainant sur ses coudes. Je passe mes mains sur ses cuisses encore croisées et les force à s’ouvrir sans rencontrer une véritable résistance. Je glisse alors mes doigts au dessus du tissu fin au travers duquel je peux deviner les reliefs de son sexe. J’effleure assez légèrement la surface, guidant tantôt ma main sur l’intérieur des cuisses, tantôt plus bas. C’est à son tour de se crisper et de haleter. Elle pose sa main sur la mienne et guide fermement mes caresses m’assistant ainsi dans la recherche de son plaisir, faisant ainsi monter mon envie de subvenir à mes pulsions. Son autre main, après un temps qui me semble impardonnable, finit par rejoindre mon membre excité et referme son emprise dessus pour encourager sa stimulation. Durant quelques minutes nous nous excitons ainsi mutuellement, corps chaud se frottant à l’autre dès que possible, plus dans l’idée de satisfaire l’autre pour sa propre excitation que dans l’idée d’un véritable partage altruiste. Elle finit par me supplier à l’oreille de venir en elle. Assez empressé mais soucieux de faire les choses correctement, je me glisse entre ses cuisses et y entre sans véritable difficulté au vu de son effervescence. Je profite de cet instant et apprécie le contact avec cet intérieur chaud et moite. Je commence alors avec de petits mouvements que j’allonge progressivement au rythme de son bassin qui semble m’encourager à entrer plus fort. J’accélère bientôt et sens assez rapidement cette pression me monter à la tête, une pression étourdissante mais agréable qui m’incite à continuer. Je sens ses cuisses frotter contre les miennes, je sens qu’elle contracte son intimité sur mon sexe pour intensifier son plaisir et le mien. Nos gémissements s’accompagnent bientôt tels des choeurs que nous tentons de réprimer pour ne pas réveiller le reste de l’appartement; les coups deviennent plus directs et plus secs, aussi bien de mon côté que du sien qui suit et approuve par quelques petits mots éparpillés. Et au bout de quelques minutes, je sens les petits spasmes la traverser, elle passe comme dans un état second, desserrant son emprise sur moi et gémissant alors que c’est pour moi le signal que je peux me laisser aller en me roule alors sur le côté et prends une grande bouffée d’air. Nous restons là, toujours muets, mais de félicité cette fois. Au bout de quelques minutes, il semble évident que personne n’a envie de commenter cet événement et qu’il serait préférable de faire comme si ce n’était pas arrivé dans notre intérêt à tous les deux. J’enfile mon caleçon, mon tee-shirt et mon jean en vitesse puis j’empoigne le reste de mes affaires comme pressé par le m’arrête malgré tout devant la porte et lui dis comme pour la bah je vais fumer une clope sur la nuit porte se referme sur Ginny qui remonte ses draps jusqu’à hauteur de sa poitrine, nous nous sommes réinventés une pudeur en quelques compte fait, je n’aurai pas trop profité du lit confortable qu’on m’avait promis au départ. 5vm1zq.

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pizza que l on referme en deux