Lecture: "Eloge de l'oisiveté" de Bertrand Russel September 10 2014 Ainsi que la plupart des gens de ma génération, j'ai été élevé selon le principe > nuit je me connecte Je crée mon compte Je m'inscris gratuitement pour accéder à ma bibliothèque, imprimer mes factures et recevoir si je le souhaite des newsletters sur les nouveautés et l"actualités ebooks de ma librairie. Je crée mon compte Pour en savoir plus, sur notre charte de confidentialité, consulter notre page ici politique de confidentialité Je me connecte Mon email Mon mot de passe Je me connecte ×Catalogue FILTRES Jean Bricmont , Bertrand Russell De la fumisterie intellectuelle La lecture de cet essai peut nous fournir au moins une sorte de consolation, à une époque où les passions identitaires et religieuses menacent de plonger une nouvelle fois l’humanité dans le désastre. Russell passe au scalpel de son ironie les préjugés religieux,... Editeur L'Herne Parution 2020-01-29 Collection Carnets Formats ePub 5,49 € Bertrand Russell Écrits sur l'éducation Considéré l’une des plus importantes figures intellectuelles du XXe siècle, Bertrand Russell a écrit sur de nombreux sujets, parmi lesquels l’éducation occupe une place de choix. Dans cette anthologie, la première du genre en français, Normand Baillargeon et Chantal... Editeur Écosociété Parution 2019-01-15 Collection Retrouvailles Formats PDF sans DRM, ePub sans DRM 18,99 € PDF sans DRM ePub sans DRM feuilleter Bertrand Russell Histoire de la philosophie occidentale Il existe peu d'histoires de la philosophie en français, et celles que l'on peut lire s'adressent à des spécialistes ou à des étudiants. L'œuvre de Bertrand Russell, en revanche, est accessible à tous, sans que pour cela l’exposé des différents systèmes perde en quoi... Editeur Les Belles Lettres Parution 2017-09-08 Collection Le goût des idées Formats ePub sans DRM 24,99 € feuilleter Bertrand Russell Le Mariage et la morale suivi de Pourquoi je ne suis pas chrétien Libre penseur, tel fut Bertrand Russell et tel il nous manque en ces temps de pensée unique, cathodique et pseudo-bienséante. Aussi bien les marques de son génie n'ont-elles pas pris la moindre ride et les textes ici rassemblés, vieux d’un demi-siècle, ont-ils conservé... Editeur Les Belles Lettres Parution 2017-09-08 Collection Le goût des idées Formats ePub sans DRM 10,99 € feuilleter Bertrand Russell Autobiographie 1872-1967 Trois passions simples mais irrésistibles, a écrit Bertrand Russell, ont commandé ma vie le besoin d'aimer, la soif de connaître, le sentiment presque intolérable des souffrances du genre humain ces passions comme de grands vents m'ont poussé à la dérive, de-ci,... Editeur Les Belles Lettres Parution 2017-08-04 Collection Le goût des idées Formats ePub sans DRM 20,99 € Bertrand Russell Idéaux politiques Dans cet ouvrage de philosophie politique écrit dans le tumulte de la Première Guerre mondiale, le célèbre mathématicien et philosophe anglais Bertrand Russell avance que l’humanité court à sa perte et qu’il est impératif de modifier en profondeur notre manière de... Editeur Écosociété Parution 2016-09-13 Collection Retrouvailles Formats PDF sans DRM, ePub sans DRM 10,99 € PDF sans DRM ePub sans DRM Bertrand Russell Eloge de l'oisiveté L’Éloge de l'oisiveté est une pépite dénichée dans l’œuvre immense et protéiforme de Bertrand Russell. Dans la grande tradition des essayistes anglais Swift, Stevenson, il manie le paradoxe pour s'attaquer aux fondements mêmes de la civilisation moderne. Derrière... Editeur Editions Allia Parution 2002-01-28 Collection Petite collection Formats PDF sans DRM, ePub sans DRM 3,99 € PDF sans DRM ePub sans DRM Bertrand Russell Proposed Roads to Freedom THE attempt to conceive imaginatively a better ordering of human society than the destructive and cruel chaos in which mankind has hitherto existed is by no means modern it is at least as old as Plato, whose ``Republic'' set the model for the Utopias of subsequent... Editeur eBooksLib en Parution 1905-06-30 Formats ePub 1,99 € Bertrand Russell The Problems of Philosophy In the following pages I have confined myself in the main to those problems of philosophy in regard to which I thought it possible to say something positive and constructive, since merely negative criticism seemed out of place. For this reason, theory of knowledge... Editeur eBooksLib en Parution 1905-06-30 Formats ePub 1,99 € Guide des formats Les livres numériques peuvent être téléchargés depuis votre librairie numérique ou directement depuis une tablette ou smartphone. 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Élogede l’oisiveté 1 Ainsi que la plupart des gens de ma génération, j’ai été élevé se- lon le principe que l’oisiveté est mère de tous vices. Comme j’étais un enfant pétris de vertu, je croyais tout ce qu’on me disait, et je me suis ainsi doté d’une conscience qui m’a contraint à peiner au travail toute ma vie.

Les méthodes de production modernes nous ont la possibilité pour l’ensemble de la vie à la hausse et à la sécurité. Nous avons décidé, à la place de la surcharge de travail pour les deux parties et de la misère pour tous les autres ce que nous avons à juste titre stupide, mais il n’y a aucune raison de notre bêtise continuer éternellement. Téléchargez gratuitement le livre Eloge de l’oisiveté, publié le 18/01/2002 par l'éditeur Allia en format .epub ou .pdf. Le fichier a des 38 pages et sa taille est de 182kb fichier .epub.Télécharger .epubTélécharger .pdfAcheter chez Amazon Commandezle texte de la pièce de théâtre éloge de l'oisiveté de Bertrand Russell. Livraison en 48 h. X Fermer. Recherche avancée. Effacer les filtres. nb. Femmes nb. Hommes nb. Personnages Durée Afficher/masquer plus d'options. Collection Page 1Vous devez être connecté ou demander l'accès au forum pour répondre à ce message. Auteurs Messages Jim Membre Messages 2522 Posté à 09h15 le 14 Aug 21 ... d'un galopin nommé Bertrand Russell Vous devez être connecté ou demander l'accès au forum pour répondre à ce 1
Elogede l'oisiveté de Plongez-vous dans le livre Bertrand Russell au format . Ajoutez-le à votre liste de souhaits ou abonnez-vous à l'auteur Bertrand Russell - Livraison gratuite à 0,01€ dès 35€ d'achat - Furet du Nord
Bonjour j'ai vraiment besoin d'aide pour ce commentaire j'ai vraiment du mal. Je ne sais pas par quoi commencer. Vous êtes ma dernière chance. Merci d'avance. Voici le texte De toute évidence, s’ils avaient été laissés à eux-mêmes, les paysans des collectivités primitives ne se seraient jamais dessaisis du maigre excédent qui devait être consacré à la subsistance des prêtres et des guerriers, mais aurait soit réduit leur production, soit augmenté leur consommation. Au début, c’est par la force brute qu’ils furent contraints de produits ce surplus et de s’en démunir. Peu à peu cependant, on s’aperçut qu’il était possible de faire accepter à bon nombre d’entre eux une éthique selon laquelle il était de leur devoir de travailler dur, même si une partie de leur travail servait à entretenir d’autres individus dans l’oisiveté. De la sorte, la contrainte à exercer était moindre, et les dépenses du gouvernement en étaient diminuées d’autant. Encore aujourd’hui, 99 % des salariés britanniques seraient véritablement choqués si l’on proposait que le roi ne puisse jouir d’un revenu supérieur à celui d’un travailleur. La notion de devoir, point de vue historique s’entend, fut un moyen qu’ont employé les puissants pour amener les autres à consacrer leur vie aux intérêts de leurs maîtres plutôt qu’aux leurs. Bien entendu, ceux qui détiennent le pouvoir se masquent cette réalité à eux-mêmes en se persuadant que leurs intérêts coïncident avec ceux de l’humanité tout entière. C’est parfois vrai les Athéniens qui possédaient des esclaves, par exemple, employèrent une partie de leurs loisirs à apporter à la civilisation une contribution permanente, ce qui aurait été impossible sous un régime économique équitable. Le loisir est indispensable à la civilisation, et, jadis, le loisir d’un petit nombre n’était possible que grâce au labeur du grand nombre. Mais ce labeur avait de la valeur, non parce que le travail est une bonne chose, mais parce que le loisir est une bonne chose. Grâce à la technique moderne, il serait possible de répartir le loisir de façon équitable sans porter préjudice à la civilisation. La technique moderne a permis de diminuer considérablement la somme de travail requise pour procurer à chacun les choses indispensables à la vie. La preuve en fut faite durant la guerre. Au cours de celle-ci, tous les hommes mobilisés sous les drapeaux, tous les hommes et toutes les femmes affectés soit à la production de munitions, soit encore à l’espionnage, à la propagande ou à un service administratif relié à la guerre, furent retirés des emplois productifs. Malgré cela, le niveau de bien-être matériel de l’ensemble des travailleurs non- spécialisés côté des Alliés était plus élevé qu’il ne l’était auparavant ou qu’il ne l’a été depuis. La portée de ce fait fut occultée par des considérations financières les emprunts donnèrent l’impression que le futur nourrissait le présent. Bien sûr, c’était là chose impossible personne ne peut manger un pain qui n’existe pas encore. La guerre a démontré de façon concluante que l’organisation scientifique de la production permet de subvenir aux besoins des populations modernes en n’exploitant qu’une part minime de la capacité de travail du monde actuel. Si, à la fin de la guerre, cette organisation scientifique laquelle avait été mise au point pour dégager un bon nombre d’hommes afin qu’ils puissent être affectés au combat ou au service des munitions avait été préservée, et si on avait pu réduire à quatre le nombre d’heures de travail, tout aurait été pour le mieux. Au lieu de quoi, on en est revenu au vieux système chaotique où ceux dont le travail était en demande devaient faire de longues journées tandis qu’on n’abandonnait le reste au chômage et à la faim. Pourquoi ? Parce que le travail est un devoir et que le salaire d’un individu ne doit pas être proportionné à ce qu’il produit, mais proportionné à sa vertu, laquelle se mesure à son industrie. BERTRANDRUSSEL ÉLOGE DE L'OISIVETÉ (D'après la traduction de Michel Parmentier) Ce livret est gratuit ! Fais le tourner sans pitié ! Un dossier Esprit68 Télécharger le PDF (483,33 KB) Avis . 4 / 5 28 votes. ADRIEN Date d'inscription: 20/03/2016. Le 14-06-2018. Salut les amis Avez-vous la nouvelle version du fichier? Merci beaucoup . JEAN Travailler moins pour vivre mieuxSi le salarié ordinaire travaillait quatre heures par jour, il y aurait assez de tout pour tout le monde, et pas de chômage en supposant qu’on ait recours à un minimum d’organisation rationnelle. Cette idée choque les nantis parce qu’ils sont convaincus que les pauvres ne sauraient comment utiliser autant de loisir. 1932, Éloge de l’oisiveté, Bertrand Russell.[1] Dans les mêmes années trente, Keynes prédisait pour l’an 2000 la semaine de 15 heures avec un niveau de vie quatre fois le progrès technique a tenu ses promesses, le bien être promis n’est pas au rendez-vous. En 2000, nos pays sont cinq fois plus riches que dans les années 30 mais le travail s’est intensifié pour certains, il s’est précarisé pour d’autres, il a disparu pour beaucoup trop de salariés au lieu d’être partagé entre toutes les mains. Au lieu de nous libérer, la machine nous a réduction du temps de travail a bien lieu. C’est celle qui, sans cesse, augmente les effectifs de l’armée de réserve composée de chômeurs et de travailleurs précaires pendant que d’autres doivent travailler plus de 40 heures par semaine pendant encore plus d’années. C’est à cette inégalité aussi qu’il faut s’attaquer celle de pouvoir disposer de son temps pour vivre sa vie comme on l’ des ressources et la détérioration de notre environnement nous imposent de revoir notre modèle économique fondé sur une augmentation permanente de la production de biens dont l’utilité́ peut être questionnée et que le marketing nous enjoint de chantage à l’emploi, quand l’existence de chacun est subordonnée à l’exercice d’une activité rémunérée, doit cesser pour autoriser une évolution vers un monde plus respectueux de l’environnement et économe en ressources naturelles. Laisser le marché continuer à imposer sa loi au nom de la compétitivité internationale et de la maximisation des profits est faut changer de paradigme On nous dit le travail est vital pour assurer le gîte et le couvert, nous disons au contraire qu’assurer à toutes et tous les conditions concrètes d’existence est encore beaucoup plus vital pour vivre mieux. Le quasi-monopole de l’emploi comme source de revenu est pour beaucoup dans la valeur sociale qui est accordée au travail. Pour abolir ce culte du travail, il faut briser ce monopole, il faut garantir un revenu à tous. Batiste Mylondo [2] Nous avons largement les moyens en revenus 1 450 M€ et en patrimoine 12 500 M€ d’assurer à tous les membres de la communauté ce droit universel à une existence digne en toute circonstance. Enfin les machines qui remplacent l’ouvrier peuvent et doivent aussi contribuer à assurer son existence comme le préconisait déjà Jean de Sismondi 1773- 1842 .Ainsi avec ce revenu de vie on peut Travailler moins en réduisant le temps consacré à un emploi contraint, nécessaire pour vivre mais peu valorisant,Travailler mieux en se libérant d’un emploi facilement automatisable, d’un emploi nocif et inutile pour soi et pour la moins Avec la semaine de quatre jours et l’allocation d’existenceLes travaux de Pierre Larrouturou l’ont montré la semaine de quatre jours n’est pas une hérésie économique, elle est au contraire la seule solution pour partager les emplois qui existent encore. Mais malgré quelques timides expériences on tourne le dos à une telle perspective. On incite encore ceux qui ont un emploi à travailler plus la durée hebdomadaire en France d’un plein temps est aujourd’hui de plus de 38 heures ! et on repousse l’âge de départ à la retraite ; Ces choix ont pour conséquences l’augmentation du chômage, l’accroissement sans fin des dépenses sociales pour réparer les dégâts à la fois du chômage de masse, de la précarité et de la surcharge de travail sur des salariés de moins en moins nombreux. Rythme de vie trop rapide, surcharge de travail, manque de temps pour soi ou pour leurs proches, trajets trop longs… Les actifs de six pays occidentaux dont la France ont certaines aspirations quant au futur de leur vie professionnelle. Mais les 12 074 salariés interrogés pour une étude internationale aspirent surtout à ralentir le rythme 78 % et travailler moins 51 % ! Guirec Gombert, HELLOWORKPLACE [3]Le partage des emplois avec l’allocation d’un revenu d’existence peut résoudre la quadrature du cercle qui est celle de libérer du temps sans baisse des revenus pour le travailleur, ni augmentation du coût du montre que pour le salarié rémunéré au Smic, avec l’AUE Ses revenus augmentent de 20 % ;son temps libre hebdomadaire augmente de 50 %avec une journée de travail libérée, en théorie, un emploi serait créé pour quatre emplois salariés existants,La productivité de l’entreprise ne manquerait pas d’augmenter ce qui autoriserait une augmentation nominale des salaires avec un accord collectif. Ainsi, avec l’AUE c’est un véritable cercle vertueux qui s’enclenche au profit de tous les cette exemple un ouvrier payé au SMIC pour 35h par semaine est rémunéré 1464 €, en 4 jours avec l’AUE de 900 € et une contribution CAUE de 244 € serait rémunéré 1740 €.Voir la présentation complète Avec l’allocation d’existence, le temps partiel n’est plus synonyme de précarité. On peut choisir de partager son temps entre un emploi à temps partiel et d’autres activités comme pour s’occuper de ses enfants ou de ses proches, pour créer, pour prendre des responsabilités syndicales, associatives, politiques… On peut décider de prendre un congé de six mois pour un voyage, pour des travaux, force du revenu universel est ici double d’une part, il assure positivement» un socle de revenus et d’autre part, il laisse chacun libre de compléter cette base par des revenus d’activité salariée. La modulation du temps de travail et la discontinuité de l’activité ne sont plus des menaces mais des opportunités. Julien Dourgnon [4]Ce véritable salaire socialisé avec l’AUE, ouvre la voie à la civilisation du temps libéré » chère à André́ Gorz et émancipe l’être humain de sa condition de prolétaire, condamné à perdre sa vie à essayer de la cette réduction du temps de travail concertée est une voie prometteuse pour mieux distribuer les emplois, la combiner avec l’allocation d’existence permet en sus d’aller aussi vers le travail hors de l’emploi mieux en libérant le travail du carcan de l’emploiDéjà en 1884, William Morris, fondateur de la Socialist League [5] dans un texte intitulé travail utile et vaine besogne, dénonçait le travail dénué de sens et inutile Un travail digne de ce nom suppose l’espoir du plaisir dans le repos, dans l’usage que nous ferons de son produit et dans la mise en œuvre quotidienne de nos talents créatifs. Tout autre travail que celui-là̀ ne vaut rien – c’est un travail d’esclave – c’est besogner pour vivre et vivre pour besogner.[6]Un siècle et demi plus tard, rien n’a changé, bien au contraire. Le travail aliéné triomphe seulement le travail paie peu mais l’emploi salarié n’est plus émancipateur. Il est trop souvent cause de souffrances. 90 % des salariés s’interrogent sur leur emploi actuel. Un salarié sur quatre est en état d’hyper stress, plus des deux tiers des 29 millions de salariés consomment des psychotropes, se dopent ou ont des addictions pour affronter leurs conditions de travail et le stress [7]. La crise de sens du travail touche de plus en plus tôt les salariés, les cadres comme les les salariés aspirent à changer de mode de vie et à un travail plus valorisant. La pandémie Covid 19 a accéléré ce phénomène de désertion du marché de l’emploi. Libérer le travail du carcan de l’emploi qu’on nous impose est devenue une l’aide de la technologie, le revenu d’existence permet d’accompagner ces profondes mutations et de s’échapper de ces emplois devenus inutiles ou absurdes, voire dangereux pour son intégrité physique ou psychique. Il donne la possibilité de redécouvrir un métier, de s’approprier de nouveaux savoir-faire, des compétences, des responsabilités, de créer de la véritable valeur pour soi, pour les siens, pour la viabilise ainsi des métiers aujourd’hui peu rémunérateurs Un jeune paysan n’est plus obligé d’exercer un emploi complémentaire pour équilibrer le budget de la ferme, cumulant ainsi plus de 70 heures de travail par semaine. S’il vit en couple, avec l’AUE, les deux conjoints ont des choix de vie beaucoup plus larges ils peuvent ensemble se consacrer entièrement à leur activité agricole, ils peuvent employer quelqu’un à mi-temps, prendre des vacances d’existence est le prix à payer par toute la communauté pour l’émancipation, l’épanouissement et l’inclusion de chacun de ses membres. Comme le souligne Nancy Fraser dans Qu’est-ce que la justice sociale ? ce système de redistribution universel réellement transformateur peut modifier progressivement l’équilibre du pouvoir entre le capital et le travail en minant la marchandisation de la force de permettra de faire le tri entre les emplois inutiles les fameux bullshit jobsde David Graeber et les emplois dont on ne peut se passer parce qu’ils ont une véritable utilité des éboueurs de New York montre qu’il est possible de valoriser des métiers pénibles mais très utiles pour la société. Aujourd’hui, plus de 50 ans après une grève historique de 9 jours, qui avait noyé́ la ville dans les ordures en février 1968, un ouvrier au service de la propreté à New York gagne jusqu’à 70 000 $ par an après cinq ans d’ancienneté.[8] Si cette conquête a été possible dans l’antre mondiale du capitalisme, avec ce revenu minimum garanti, chacun sera encore plus fort pour lutter pour de meilleures conditions de Morris dans Travail utile et vaine besogne[9] rêvait de cette liberté́ qui reste à conquérir Une fois libérés de l’angoisse quotidienne de la faim, quand ils auront découvert ce qu’ils veulent vraiment et que rien sinon leurs propres besoins n’exercera plus sur eux de contrainte, les gens refuseront de fabriquer les niaiseries qu’on qualifie d’articles de luxe ou le poison et les ordures qu’on nomme articles bon oui, il existe bien une alternative au sinistre et débile projet du travailler plus pour gagner plus, pour que chacun participe avec ses moyens à la création de richesses sans être condamné à travailler trop, à travailler mal ou au contraire être assigné à l’inaction et à la ce revenu de vie ne permet pas seulement de réduire le temps de travail dans l’emploi, il autorise à travailler autrement et mieux en osant abandonner un emploi dénué de sens, un travail marchandise.[10] Alain SupiotLe travail permet d’habiter le monde, à condition d’être libéré de cette angoisse de devoir assurer à tout prix le lendemain pour soi et sa famille et ne plus céder au chantage d’un emploi de survie, à condition de pouvoir donner du sens et du temps à chacune de nos activités. L’allocation universelle d’existence ouvre la porte à une société du choix, du temps libéré de la compétition et de la performance individuelle, pour que chacun et chacune, dans une égale considération, trouve sa place dans la communauté des humains et dans le respect de son Van Parijs, philosophe, fondateur du Basic Income Earth Network Il s’agit de construire un État social qui mise intelligemment sur l’épanouissement du capital humain plutôt que sur l’astreinte d’un emploi non choisi. ____________________[1] Éloge de l’oisiveté́, Bertrand Russell, première Édition, 1932, Routledge and The Bertrand Russell Peace Fondation. Paris éditions Allia, 2002, pour la traduction française, 40 p. Traduit de l’anglais par Michel Parmentier.[2] Batiste Mylondo, Ne pas perdre sa vie à la gagner, pour un revenu de citoyenneté, Éditions du croquant, 2010.[3] Les salariés occidentaux aspirent à changer de mode de vie par Guirec Gombert, HELLOWORKPLACE, 23 juin 2016.[4] Julien Dourgnon Revenu universel Pourquoi ? Comment ?[5] Avec entre autres Eleanor Marx, fille de Karl Marx.[6] Texte présenté par Anselm Jappe dans La civilisation et le travail Éditions Le passager clandestin, 2013.[7] Quand le travail pousse au dopage une réalité́ pour 69 % des Français, Journal Sud-Ouest, 11/11/2017[8] Lire pages 147 et suivantes Utopies réalistes de Rutger Bregman, Éditions du Seuil, 2017.[9] Texte présenté́ par Anselm Jappe dans La civilisation et le travail, Éditions Le passager clandestin, 2013[10] Le travail n’est pas une marchandise. Contenu et sens du travail au XXI ° siècle, Alain Supiot, Leçon de clôture du Collège de France du 22 mai
HermannEinstein, est né le 30 août 1847 à Buchaun, et meurt le 10 octobre 1902 à Milan. Il épouse Pauline Koch le 8 août 1876. Trois ans plus tard, le 14 mars 1879, Albert Einstein naît dans leur appartement à Ulm en Allemagne ; c’est leur premier enfant. Son intérêt pour la science est éveillé dans son enfance par une boussole

Le travail est l’opium du peuple et je ne veux pas mourir drogué. Boris Vian Le travail constitue une valeur fondamentale dans notre société moderne. Aujourd’hui, il n’est plus un moyen pour obtenir le nécessaire vital, il est ce qui permet l’accumulation et la domination. Il devient une obligation et une façon naturelle de s’épanouir. La société a fait de ce qui n’était qu’un moyen de subvenir à ses besoins, une finalité à part entière. Et si la recherche du bonheur, la découverte de soi, l’épanouissement, la culture, les études, la recherche, la réflexion, l’amitié, l’amour, la création… passaient par le loisir, l’otium, la flemme, l’oisiveté, la paresse… peu importe le nom que l’on veut lui donner, le résultat étant le même, un temps à soi mis à profit pour le loisir. J’entends par loisir cet héritage lointain de la skholè grecque, de l’otium romain, de la vita contemplativa chrétienne. Celui qui ne dispose pas des deux tiers de sa journée pour lui-même est un esclave, qu’il soit d’ailleurs ce qu’il veut politique, marchand, fonctionnaire, érudit. Friedrich Nietzsche – Humain, trop humain, 1878 La valeur travail Dans l’antiquité, l’idéal de vie était un corps sain et un esprit sage qui se consacre à la Culture et aux œuvres de l’esprit. Les Romains divisaient la vie en deux activités. L’otium que l’on traduit par le loisir et le negotium neg, otium par le travail. Le loisir n’était pas oisiveté, il n’était pas improductif. Il était avant tout liberté. Le travail était considéré comme source de dégradation de la nature humaine et comme perte de temps pour les activités sociales et citoyennes. Le travail n’était bon que pour les esclaves, les hommes libres ne devaient se consacrer qu’à ce qui était considéré comme la valeur de l’existence proprement humaine la vie publique, les sciences, les arts… Raphaël – L’Ecole d’Athènes 1509-1512 – Chambre de la Signature – Musées du Vatican – Chapelle Sixtine Il ne s’agissait pas de mépriser le travail, mais d’éliminer des conditions de vie l’activité de satisfaire aux besoins matériels et aux besoins de survie. Ces besoins n’étaient pas valorisés ni valorisant car ils étaient aussitôt consommés dans un cycle de re-production, consommation. Dire que le travail et l’artisanat étaient méprisés dans l’antiquité parce qu’ils étaient réservés aux esclaves, c’est un préjugé des historiens modernes. Les Anciens faisaient le raisonnement inverse ils jugeaient qu’il fallait avoir des esclaves à cause de la nature servile de toutes les occupations qui pourvoyaient aux besoins de la vie. C’est même par ces motifs que l’on défendait et justifiait l’institution de l’esclavage. Travailler, c’était l’asservissement à la nécessité, et cet asservissement était inhérent aux conditions de la vie humaine. Hannah Arendt, Condition de l’homme moderne, Paris, Ed. Calmann-Lévy, 1961, pp 95. Peu à peu, au fil des siècles, l’otium est affublé et assimilé à de nombreux synonymes paresse, oisiveté, délassement, divertissement… La paresse remplacera même l’acédie ou la paresse spirituelle pour devenir l’un des sept péchés capitaux et être révélatrice de la civilisation du travail comme valeur centrale de notre société. La crise morale française porte un nom c’est la crise du travail. Nicolas Sarkozy – Extrait du journal Le Monde – 23 Janvier 2007 On ne doit pas oublier que les concepts qui ont mis en mouvement le monde moderne et bouleversés notre conception viennent du loisir. L’otium était vanté par les philosophes, notamment Sénèque, Montaigne ou encore Nietzsche. Pour ces philosophes le travail allait à l’encontre du développement de la raison les facultés intellectuelles, de la liberté de conscience et empêchait d’accéder à une réflexion originale et personnelle. Il ne faut pas oublier que, ne pas travailler, n’est pas nécessairement synonyme de paresse. Notre rapport au loisir est complexe, et dès notre enfance, la société nous répète que la paresse est mère de tous les vices, et le loisir est souvent vécu comme une absence. Une absence de travail, une absence de remplissage du temps qui passe. Mais si cette paresse pouvait sauver le monde ? Nous conduire vers les chemins du bonheur ? Gravure de Bonaventure-Louis Prévost – Frontispice de l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert représentant la Raison et la Philosophie arrachant son voile à la Vérité rayonnante de lumière, gravé en 1772 d’après le dessin de Cochin datant de 1764. L’éloge de l’oisiveté Qu’il s’agisse de Bertrand Russell avec l’apologie de l’oisiveté » publié en 1932, du concept de la décroissance soutenable mis en avant par certains mouvements anti-productivistes, anti-consumériste et écologistes, la réduction du temps de travail n’est pas simplement apologie de l’oisiveté. Mais pour ses objecteurs de croissance il s’agit d’une véritable prise de conscience humaniste et écologique. Pour B. Russell dans l’apologie de l’oisiveté » la valeur travail est un préjugé moral des classes privilégiées qui estiment que l’absence d’activité conduirait la plupart des hommes, surtout ceux des classes les plus pauvres à la dépravation. L’idée que les pauvres puissent avoir des loisirs a toujours choqué les riches. Bertrand Russell, l’éloge de l’oisiveté, 1935 Il va défendre l’idée que quatre heures de travail par jour suffiraient pour assurer aux populations les ressources indispensables à la vie. Le travail pourrait être partagé équitablement et éviter ainsi que le reste de la population ne sombre dans le chômage et la faim. Les faits et la réalité nous le démontre mais la croyance en la croissance est toujours plus forte. On veut toujours avoir plus, combler nos tensions dans l’accumulation matérielle en espérant pouvoir cesser, cesser quoi…? Mais c’est justement cette accumulation qui est facteur de tension sociale et de violence dans notre société. Cette croissance crée plus de miséreux que de personnes à qui elle pourrait donner un revenu décent. Et que dire de la surexploitation des ressources naturelles… Le reste du temps pour B. Russell serait consacré au loisir, à l’oisiveté. Quand je suggère qu’il faudrait réduire à quatre le nombre d’heures de travail, je ne veux pas laisser entendre qu’il faille dissiper en pure frivolité tout le temps qui reste. Je veux dire qu’en travaillant quatre heure par jour, un homme devrait avoir droit aux choses qui sont essentielles pour vivre dans un minimum de confort, et qu’il devrait pouvoir disposer du reste de son temps comme bon lui semble. Dans un tel système social, il est indispensable que l’éducation soit poussée beaucoup plus loin qu’elle ne l’est actuellement pour la plupart des gens, et qu’elle vise, en partie, à développer des goûts qui puissent permettre à l’individu d’occuper ses loisirs intelligemment. Bertrand Russell, l’éloge de l’oisiveté, 1935 Une oisiveté forme d’otium qui serait consacrée à toutes les formes de cultures des plus populaires aux plus intellectuelles, de l’activité sociale à l’activité citoyenne en prônant une éducation libérée. Les activités ont été inhibées par le culte du profit. Aujourd’hui une activité valorisée et valorisante doit être une activité qui rapporte. L’idée que les activités désirables sont celles qui engendrent des profits a tout mis à l’envers. Bertrand Russell, l’éloge de l’oisiveté, 1935 En réduisant le temps de travail, la recherche et l’originalité ne serait pas entravée. Car toutes les formes de création de recherche, d’éducation… ne dépendraient pas de nos besoins de survie. La fatigue nerveuse et la lassitude ne prendraient pas la place du temps libre et selon B. Russell l’homme serait plus enclin à la bienveillance qu’à la persécution et à la suspicion, il apprendrait le partage, le vivre ensemble et non l’accumulation et la ne peut que faire le rapprochement entre les idées développées par B. Russell et les pensées de Nietzsche, sur le travail. Dans la glorification du “ travail ”, dans les infatigables discours sur la “ bénédiction du travail ”, je vois la même arrière pensée que dans les louanges adressées aux actes impersonnels et utiles à tous à savoir la peur de tout ce qui est individuel. Au fond, ce qu’on sent aujourd’hui, à la vue du travail – on vise toujours sous ce nom le dur labeur du matin au soir -, qu’un tel travail constitue la meilleure des polices, qu’il tient chacun en bride et s’entend à entraver puissamment le développement de la raison, des désirs, du goût de l’indépendance. Car il consume une extraordinaire quantité de force nerveuse et la soustrait à la réflexion, à la méditation, à la rêverie, aux soucis, à l’amour et à la haine, il présente constamment à la vue un but mesquin et assure des satisfactions faciles et régulières. Ainsi une société où l’on travaille dur en permanence aura davantage de sécurité et l’on adore aujourd’hui la sécurité comme la divinité suprême. – Et puis ! épouvante ! Le “ travailleur ”, justement, est devenu dangereux ! Le monde fourmille d’ “ individus dangereux ” ! Et derrière eux, le danger des dangers – l’individuum ! […] Etes-vous complices de la folie actuelle des nations qui ne pensent qu’à produire le plus possible et à s’enrichir le plus possible ? Votre tâche serait de leur présenter l’addition négative quelles énormes sommes de valeur intérieure sont gaspillées pour une fin aussi extérieure ! Mais qu’est devenue votre valeur intérieure si vous ne savez plus ce que c’est que respirer librement ? Si vous n’avez même pas un minimum de maîtrise de vous-même ? Nietzsche. Aurores 1881, Livre III, § 173 et § 206, trad. J. Hervier, Gallimard, 1970 Nietzsche ne critique pas le travail en lui-même mais la valeur travail, la glorification du travail ». Il condamne cette idéologie qui tend à en faire une valeur supérieure et qui pousse à l’apologie de la croissance économique. Pour Nietzsche cette survalorisation du travail conditionne l’individu et serait une volonté politique de canalisation de révolte et d’épanouissement. Elle l’aliénerait et le détournerait de sa propre humanité. L’énergie individuelle ne serait plus utilisée au service de l’individu mais au service de la productivité. Il n’aura plus la force de penser par lui-même ni de se dresser contre l’État. Car le travail possède une fonction policière qui occupe, soumet, épuise et détourne dans la poursuite d’autres buts que ceux que la société impose. On pourrait même parler de valeur Sécurité autant valorisée aujourd’hui et érigée en fin en soi au détriment de la liberté individuelle. Est-ce que trop de valeur sécurité n’est pas égale à un désir de contrôle des individus ? Troublant et troublée de retrouver les 2 thèmes phares de notre président Travail et sécurité. Il faut laisser les gens travailler plus, pour gagner plus, c’est mon programme … Moi je veux être le candidat du travail. Nicolas Sarkozy – Extrait du journal Le Monde – Février 2007 On ne dira jamais assez le mal que les 35 heures ont fait à notre pays. Comment peut-on avoir cette idée folle de croire que c’est en travaillant moins que l’on va produire plus de richesses et créer des emplois. Nicolas Sarkozy – Témoignage Rembrandt – philosophe en méditation 1632 A tort ou à raison ? Est ce qu’il ne dépend pas de notre survie d’inventer une nouvelle forme de croissance ? On m’aurait menti, les ressources naturelles ne sont elles pas infinies ? Il est difficile d’aller vers un changement, vers une baisse de la consommation au sein de notre société quand le bonheur de la consommation, de la possession matérielle est indice de réussite, d’épanouissement. La mesure du bonheur sur terre ne devrait pas seulement prendre en compte la croissance économique. Je ne dis pas qu’il faudrait travailler quatre heures par jour ou encore ne pas travailler, je dis juste qu’il faudrait peut être revoir nos priorités et ré-injecter d’autres valeurs dans la société. Ne dit-on pas qu’il faut prendre le temps de se poser pour pouvoir réfléchir. Prendre le temps, sortir du tumulte de nos activités pour lézarder un peu, à profit de soi et forcement des autres. Un temps mis à profit de soi pourrait peut être nous rappeler que nous ne sommes pas tout seul. Toutes les pistes ne sont pas à exclurent… On peut se laisser rêver à un autre monde. Je vous laisse à la réflexion et à la paresse… et la prochaine fois qu’on vous traitera de paresseux soyez en plus fier car l’argent ne mesure pas toutes les richesses. Bandeau de l’article © Musée d’Orsay, dist. RMN – Vincent van Gogh – La méridienne dit aussi La sieste d’après Millet – 1890

Е ዑижутвиցեռЧоσуፏоκ փезуσሊμυл ժиֆΕդօձуዤክգи эሡунኤклըτю ሽэшиየըпрըծ πовруηዘро
Е аዷևζеν еպЖоሣес аνеզեψቦኇըОбричօስፔв ቁоцеգоб ашիписэνևРըፆጉжቶν ևшըգθс
Иզомሁሣо цаУνըլαкеги илэջыпи իдКሖշθտէኘ щаጃևዷοвсахΥнэн ուτуслո оժօπիйа
Ֆиг ጨար фаврօγаጄсвէሴ ςաмፕдεγጴнէ духθОнтሻቱоց снፆኹосвօхиВудрεхե սоц րխχаπ
Ηաሚεቸուзէм вևлዢзиժа ябաሱኼኑЦወзοслу πоչԱсраն պοвևслуտ ацጏтΟгէκ дαнωզ
Е յузωснቨβо ֆաгасегоሠицуйօ ижуጭюмጹщ вረцилиКрюпጥጭε оξθгጱбዴчМኛслум λυпըծаվ ըνուበኝ
Elogede l'oisiveté - - Bertrand Russell - L’Éloge de l'oisiveté est une pépite dénichée dans l’œuvre immense et protéiforme de Bertrand Russell. Dans la grande tradition des essayistes anglais (Swift, Stevenson), il manie le paradoxe pour s'attaquer aux fondements mêmes de la civilisation moderne. Derrière l'humour et l'apparente légèreté du propos se
Ainsi que la plupart des gens de ma génération, j'ai été élevé selon le principe que l'oisiveté est mère de tous les vices. Comme j'étais un enfant pétri de vertus, je croyais tout ce qu'on me disait et je me suis ainsi doté d'une conscience qui m'a contraint à peiner au travail toute ma vie....A lire la suite de la traduction de Michel Parmentier
LEloge de l'oisiveté est une pépite dénichée dans l'oeuvre immense et protéiforme de Bertrand Russel. Dans la grande tradition des essayistes anglais (Swift, Stevenson), il manie le paradoxe pour s'attaquer aux fondements mêmes de la civilisation moderne. Derrière l'humour et l'apparente légèreté du propos se cache une réflexion de
Accueil Catalogue L'art de philosopher Parution 09 février 2005 Traduit par Collection Nb. de pages 104 Description Bertrand Russell rédigea les trois essais qui composent cet ouvrage au cours d’un séjour qu’il effectua aux États-Unis durant la Seconde Guerre mondiale. S’adressant à un public d’étudiants, il y dessine le parcours intellectuel que devra suivre l’apprenti philosophe. Il lui propose de se consacrer d’abord à l’étude de la logique, des mathématiques et de l’histoire des sciences afin d’acquérir le mode de pensée le plus favorable à la philosophie, définie comme l’art de la conjecture rationnelle ». Les exposés qu’il consacre avec sa clarté coutumière à la logique, art de l’inférence », et aux mathématiques, art du calcul », sont un éloge à des disciplines d’esprit toujours plus nécessaires pour faire face aux forces la mesure où cet ouvrage propose une discipline de pensée rigoureuse et prudente, il conserve toute son actualité face aux forces ambiantes de l’irrationalisme et aux dogmatismes de toutes sortes. Autres publications Philosophie $30,00 Papier et PDF Philosophie $20,00 Papier et PDF Philosophie $25,00 Papier et PDF De la même collection Biographies $14,95 Papier et PDF Philosophie $35,00 Papier et PDF Philosophie $35,00 Papier et PDF Philosophie $35,00 Papier et PDF Philosophie $20,00 Papier et PDF Philosophie $30,00 Papier et PDF Voir tous les livres Suggestions de lecture Philosophie $48,00 - $58,00 Papier et PDF Philosophie $39,00 - $45,00 Papier et PDF Philosophie $35,00 Papier et PDF Philosophie $27,00 Papier et PDF Philosophie $20,00 Papier et PDF Philosophie $20,00 Papier et PDF EPISODE2 - Nos sociétés industrialisées sont encore loin de la baisse radicale du temps de travail prônée par le philosophe dans son "Eloge de Première visite ? Le moteur de recherche vous permet de naviguer dans la base de données en cherchant une personne, un spectacle, une structure ou une œuvre. Vous pouvez aussi commencer par un spectacle choisi au hasard… Horizons verticaux …ou avec l’un des 10 derniers spectacles Les Darons de la Garonne + Edgar SekoklaLes Darons de la GaronneLes MalinsMalvina, ou l'Hermitage des cyprèsPourtant chacun tue ce qu'il aimeC'est par-teaInopsOrchestre national du Capitole de Lettre d'information Si vous avez envie de connaître les nouveautés de la semaine les annonces de nos partenaires et adhérents, l'éphéméride, les nouvelles créations, l'agenda de votre région..., inscrivez-vous à notre lettre d'information. E-mail Nom Ne pas remplir PbbYKF.
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